Les Arrivés

Tous les membres qui ne font pas partit du manga l'origine devront faire un cours RP à la suite de ce post pour recevoir la bague. Aussi, il ne rèste plus que 7 places à l'Akatsuki.

Rendez vous au sommet de la tour pour une réunion. Tout absent se verra sanctionner par une peine capitale. A bon entendeur salut...

Les mots qu’il reçu d’un papier remis par l’assistante de Pein, qui s’était matérialiser quelques secondes plutôt devant lui et Furan, les deux nouveaux membres de l’aka. Le temps qu’il lève la tête, la jeune femme avait déjà disparu mystérieusement. Ryu jeta un regard à Furan. Au moins il n’était pas trop loin de là. Ils s’y dirigeaient justement en fait, afin de justement recevoir des directives de l’organisation. On pouvait voir le sommet de la fameuse tour qui servait de repère au Kage de la pluie, donc à Pein. De ce qu’il avait entendu, Pein serait une sorte de dieu pour eux et que Konan serait une espèce de messagère divine. Des classes sociales bien étranges. Le duo continua leurs marches en pressant un peu le pas. Il ne voulait se faire punir par le fameux dieu de la pluie. Parlant de cela, une petite pluie commença à s’abattre sur le village et un peu à l’extérieur, les touchant à leur tour. Ryu en senti toute suite un drôle d’effet. Chaque goûte était bien mis du chakra, par petite quantité. La réflexion fut courte, car il comprit que cela servait simplement à détecter les présences dans et autour du village. La marche continua donc en silence. Il portait maintenant tous les deux la capes bien faciles à reconnaître de la lune rouge : Une longues capes fermé avec de longues manches, parsemé de nuages rouges. Ryu portait dessous ses habits de combat, Furan de même. Leur tête était couverte, cachant leurs yeux. Ils n’eurent même pas à demander l’ouverture des portes, ce fut automatique. La tour était au centre du village il faudra le traversé. Si on nous attaque ce sera pas un problème. Ils continuèrent sur le village, croisant un premier pays, puis d’autres. En fait, tous ceux qui les voyaient était ébahis même stupéfaits, de voir quelques d’autres d’être habillé de la même façon que la messagère divine. Ryu, un peu ignorants de la situation, posa la main sur le manche de son sabre à lame de chakra en regardant le ciel. Kami, son faucon. Il siffla et celui-ci vint à lui. Fouillant dans une poche, il put y trouver un crayon et un papier. Il y écrit brièvement les mots «Nous sommes là» Avec sa signature et celle de son amie. Il le donna à Kami qui fonça vers la tour et qui allait sûrement cogner à une fenêtre avec son bec pour voir le vrai dieu. Ce ne prit que quelques minutes avant que l’oiseau revienne et se pose sur l’épaule de l’homme. Ils arrivèrent sans encombre à la tour. D’en bas, elle était gigantesque mais surtout mince étrangement. Le seul point qui s’élargissait était le sommet, probablement les pièces de réunion. Ils passèrent la clôture et entrèrent par la porte et grimpèrent finalement les marches une par une, pendant quelques minutes avant de tomber dans un corridor mal éclairé. Sa main alluma automatiquement une flamme, réflexe qu’il avait maintenant quand il est dans l’obscurité. Leur marche aboutie finalement dans une pièce avec une table en son centre. Elle semblait pas être censée être dans la pièce, simplement par sa position et par le manque de poussière, contrairement à la pièce. Après tout, Konan n’était pas une femme de ménage mais ninja. Un homme se tenait à coté de la table accompagnée de Konan. La table semblait avoir place pour des anneaux, 7 en tout. Il en voyait déjà une aux mains des deux Akatsukiens. Le duo s’avança vers le deuxième tandis que le dieu prenait deux bagues dans sa main. Ryu retira sa capuche tandis que Furan faisait de même. Le dieu commença à leur parler à propos des bagues pour savoir ce que s’était. Comme un moyen d’extracter les bijuu, démon possédant un pouvoir incroyable et qui permettrait à l’Akatsuki de dominer le monde. Bien il avait entendu parler des possesseur de démon. La force qu’il aurait serait inimaginable. Alors la question qu’il posa fut bien simple.

Alors qu’avons-nous à faire Pain-sama?

Validé ... Ta bague est celle qui symbolise le nord, " Hoku " et bon rp parmi l'Akatsuki !

Invité

Neuf mois s’étaient déjà écoulés depuis sa rencontre avec ce maître qui avait été sien durant tout ce temps. L’armurier retraité c’était même fait un plaisir d’enseigner l’art de maîtriser les armes minces à ce « jeune homme au passé nébuleux » qui s’était un jour présenté à lui en lui présentant cette demande. Tous deux avaient passé ces neuf mois ensemble, presque jour pour jour, s’entraînant sans relâche, suant et se blessant pour les besoins de la cause – Zuko avait manqué de peu l’amputation suite à un coup de fleuret aux jointures qui avait rendu deux de ses doigts invalides pendant plusieurs mois – jusqu’à cette nuit. Nuit pendant laquelle, nonobstant la bonté du vieil homme, et tout l’aide qu’il lui avait apporté, Zuko s’était silencieusement éclipsée, sans la moindre explication. Son seul signe d’affection envers cet ancien maître ayant été de lui laisser la moitié de ses maigres économies. Puis, elle avait disparu, quittant le village de Kiri aussi rapidement qu’elle y était arrivée, sans se faire remarquer, et ne prenant que le temps de s’arrêter pour s’approprier une carte trouvée au hasard, afin de pouvoir commencer son chemin vers Ame cette même nuit. La carte glissée entre sa ceinture et son pantalon, aux côtés du fleuret qui lui appartenait, la jeune femme s’empressa de s’éloigner de Kiri grâce à l’une des techniques de sa conception : Futon, Fuusoku. Aussitôt, un tourbillon d’air se forma autour de ses jambes, grandissant, s’intensifiant jusqu’à ce qu’elle le juge suffisamment imposant pour l’envoyer assez loin de Kiri en très peu de temps. Après s’être assurée qu’elle était bien tournée vers la bonne direction, Zuko bondit, tout simplement. Le tourbillon se rassembla alors sous ses pieds et, brusquement libéré, s’éloigna vivement du sol où il était précédemment retenu prisonnier, emportant avec lui le corps de la jeune femme, laquelle ne s’était jamais tout à fait habituée à cette sensation.

Elle mit pied à terre à plus un moins un kilomètre de distance de Kiri, légèrement étourdie, l’estomac retourné. Forcée de s’accroupir un instant pour ne pas vomir, elle attendit que ses nausées passent, puis s’éloigna à la course, usant des bons spectaculaires propres aux ninjas, et surtout aux ninjas qui usent davantage de la vitesse que de la force. Toutefois soucieuse de ne pas trop gaspiller inutilement son énergie en courant, elle se mit à marcher, consciente qu’ainsi elle n’aurait pas à s’arrêter des nuits entières pour dormir et récupérer ses forces. Quelques siestes suffiraient. Se fiant à la carte qu’elle avait chapardée, Zuko entreprit de traverser les différents villages qu’elle croisait, sans chercher à éviter les agglomérations. En profitant, au contraire, pour refaire le plein de nourriture et pour s’assurer qu’elle suivait le bon chemin. Manquerait plus qu’elle se perde et qu’elle n’atteigne jamais Ame …
Quelques jours après son départ, arrivée plus près de son but, elle entreprit de se trouver de nouveaux vêtements, plus pratiques que ceux qu’elle portait actuellement. Hum. Des vêtements peut-être un peu plus féminins, aussi… Elle baissa le regard sur les pièces de tissus usées qu’elle portait à Kiri afin de se faire passer pour un homme, et soupira, agacée. Voila plus de trois ans qu’elle se faisait passer pour un garçon. Ça allait être étrange de se retrouver fille de nouveau, mais elle se doutait bien qu’à présent Suna ne devait plus la rechercher. Elle n’avait plus trop à se méfier de son village natal.

Plus tard, propre et habillée de vêtements plus frais, elle atteint enfin Ame, non sans soulagement : voyager à ce rythme, et avec toute cette pression, ne lui avait pas vraiment plu … Mais à présent, la crainte de trop se faire attendre n’étant plus, elle sentait une nouvelle inquiétude poindre en elle. D’ici quelques heures, elle se trouverait en présence d’Akatsuki. De ses membres, et aussi de son dirigeant. Pour, peut-être, rejoindre l’organisation. Sinon, pour mourir. L’angoisse montant rapidement en elle afin de s’enrouler au creux de son ventre, Zuko passa les frontière du village en cherchant des yeux la tour à l’intérieur de laquelle on lui avait ordonné de se rendre. Une immense tour mince, qui s’élargit en atteignant le ciel. Quelque chose que l’on ne voit pas souvent, aussi ne prit-elle pas trop longtemps à repérer sa cible des yeux. Une fois cela fait, elle ne la quitta plus des yeux. Trouver sa base fut un peu plus ardu, mais elle y parvint sans plus de difficulté, grondant simplement de mécontentement en voyant les minutes s’écouler. Lorsque, enfin, elle parvint aux pieds de son point de rendez-vous, elle était tellement à cran qu’elle n’hésita même pas avant d’entrer. La démarche violente et le pas rapide, elle repoussa les portes et attaqua l’ascension de la tour, en tentant de faire fit de l’obscurité ambiante.

Elle parvint à une salle unique, à l’entrée de laquelle elle se figea, l’angoisse ne la rattrapant qu’à cet instant. La pièce était vide de vie. Inévitablement, elle se demanda si elle ne se serait pas trompée d’endroit. Mais, son intuition lui indiquant que non, elle fit un nouveau pas afin d’entrer définitivement dans la pièce. Elle tenait entre ses doigts la poignée de son fleuret, qu’elle avait nerveusement dégainé, avant d’en appuyer la fleur de laine sur sa botte, passant le temps en forçant la lame souple à se plier jusqu’à former un arque, puis la laissant se déployer. Et recommençant. En attendant que quelque chose se passe …

Validé ... Ta bague représente le Sei, le "dragon bleu"