Du saké s'il vous plait ! [Libre]

J’étais assise au comptoir d’une taverne bruyante et chaleureuse. Le patron essuie ses verres ainsi que ses chopes en grommelant quelques paroles dans sa barbe. Il est petit, gros, une voie bourru et grave, d’un geste, il essuie ses mains grasseuses sur son tablier blanc tirant vers le gris.

Il se glisse devant son comptoir, s’approche de moi. Il m’inspecte d’un regard curieux et froid avant de prendre un carnet, un crayon, posant son regard sur la feuille blanche.

« Vous voulez quoi ?
-… »

Je ne peux rien répondre, mes yeux se pose sur le patron de la taverne, je parcoure son crâne dégarnis, son visage aux traits dur qui ont parcouru le temps, son épaisse barbe qui mange tout le bas de son visage de couleur noir. Je ne sais pas quoi prendre, quoi demander. Je réfléchit un instant, puis demande un Saké, - restons classique -.

Je reposais mon verre - vide - dans un grand claquement de verre sur le comptoir. Je sentais encore la brûlure de l'alcool frelaté dans mon estomac.

Cela faisait trois jours que j’avais marché dans ce maudit désert de Suna. Et j’étais enfin de retour « à la maison ». Finalement j’aurais peut-être dû crever dans ce désert plutôt que de retourner ici… Je commençais sérieusement à m’ennuyer, dans ce village.
Et puis c'était quoi ces missions merdique d'abord? Rahh et puis ils me collent toujours des boulets pas possible, enfin vous savez, ces choses, qu’on appelle « des hommes ».

J’observe les lieux, c’est plutôt sombre, pauvre, humide et crasseux. Seulement quelques points de lumières dispersés dans la pièce éclairent des murs à l'odeur putride couvert de moisissure et un plancher flottant, qui - selon moi - n'avaient pas reçu un coup de serpillère depuis une bonne dizaine d'années.

Beaucoup de visages se mélangent, tous sont différents. Jeune, pauvre, vieux, riche, Ninja, civil et autres personnages étranges. Aucune barrière sociale ne semble exister en ce lieu.

Alors que j’entrais dans une contemplation plus détaillé de ces visages j’entendis le bruit agaçant de gouttelettes d‘eau qui tombe dans un récipient remplis d‘un liquide quelconque. Et merde, une fuite, juste au-dessus de moi. Et, comme si ça ne suffisait pas, il faut qu'elles tombent dans mon second verre de saké que je n’ai même pas encore déguster tss…

Je change alors de place énervé, agacer, exaspérer... Après tout, ce n’était vraiment pas mon jour ! Je pique alors une gueulante au patron qui m’offre un autre verre, sans s’excuser. Tss tellement têtue ce vieux grincheux. Je suis une cliente tout de même un peu de respect !

Alors que le patron venait de me poser mon verre, la porte en bois s'ouvrit soudain dans un grincement surprenant. Cela m‘étonna. La porte avait semblée parfaitement graissée quand j’était entrée. Je m'en souviens car c'était bien la seule chose qui devait être en état ici…

J'entris dans la taverne en transpirant comme un porc tellement il faisait une chaleur a crever dehors. Quand je poussa les portes, elle grinçais un un point qu'on avais
l'impression qu'elle n'avais pas graissé depuis des années. Une fois la porte dépassée je m'arrêta et je regarda brièvement à doit et à gauche puis je m'avança vers le
comptoir ou je demanda un verre de saké. Le vieille homme qui servais de serveur ou bien qui étais le patron me le servis sans même dire un mot ou me regarder. Je pris
alors le verre d'une poigne et le but d'un trait. Je le posa sur la planche en bois qui servais de comptoir et j'exclama: UN AUTRE VERRE! Le parton s'avança alors vers moi et me dit avec un air des plus méprisant:

-"Et dire s'il vous plais sa va vous tuer ?!"

Nan mais ho pour qui il se prend se vieux crouton pour me parler comme ça! Je le pris alors par le haut de son torchons qui lui servais de t-shirt et le plaque sur la planche
en bois. Nan mais tu te prend pour qui pour me parler comme ça !! Quand je rentre je te demande un premier verre de saké et même pas tu me regard quand tu me le
donne et tu ne me dit pas bonjours non plus alors que je suis un client et tu me demande si dire s'il vous plais ça va me tué ??!! Je tourna la tête vers la gauche et je vis alors
la bouteille de saké du vieux. Je la pris tout en gardant sa tête écrasée contre le comptoir et partis m'assoir à une table ou j'avais déssidé de l'engloutir. Une fois que
j'eus fini la bouteille je me rendis compte qu'il y avais un gros blanc dans la salle et que tout le monde me regardais. Je les regardais moi aussi, on aurais dit qu'il étais tout figer, leurs visages sans étais fixé sur moi, ils ne faisaient plus aucuns mouvement, il n'y avais plus un bruit( même les mouche ne faisaient plus de bruits).
Je me leva alors et redemanda un autre verre de saké. Le serveur avais compris la leçon cette fois-ci car en me le servant il me dit tenez monsieur votre verre. Je le regarda et sans dire un mort je retourna m'assoir à ma table. Je but mon verre et la je vis une jeune ninja du village que je n'avais pas encore remarquer jusque là. Elle avais l'air désespérée elle aussi. Je me leva déposa mon verre a côté du sien et lui demande comment elle s'appèlais.

Un homme que je ne connaissais pas venait de rentrer. Il avait environs une vingtaine d'années et était vêtu entièrement de noir, seul quelque touche de blanc venais éclaircire cette ténébreuse tenue. Il suait, un peu répugnant me direz vous, mais malgré cela il dégageait une aura mystérieuse.

M'enfin ce n'étais qu'un homme, il avait peut-être des allure grave de beau garçon, il restait un imprévu potentiel. En parlant de sa tenue, il portait également deux katana - probablement un ninja - .

Il alla directement au comptoir s'adresser au patron pour commander du saké. Celui-ci s'exécuta sans pour autant lui accorder plus d'attention qu'il ne l'avait fait pour moi. Il demanda un autre verre et après une réflexion du patron il s'énerva et plaqua sa tête sur le comptoir avec une violence monstrueuse.

Bizarrement tout le monde semblait effrayé et un silence de mort régnait dans le bar qui avait été quelques seconde avant extrémememt joyeux et chaleureux. Les bagarres dans ce genre d'endroit étaient pourtant classique.

Enfin, j'observais la scène amusé avant d'esquisser un sourire. Eh bien en voilà un qui ne se laissais pas faire. Amusant bien qu'un peut trop impulsif à mon goût... Mais bon ce n'est qu'un homme après tout c'est dans leur nature de se battre pour des raisons aussi futiles...

Alors que j'étais en pleine réflexion sur la scène que je venais de voir et que j’imaginais toute les probabilitées possible sur l'identité de cet homme, l'inconnu vint s'asseoir près de moi, sur un tabouret à ma droite et me demanda mon nom.

D'un oeil soupçonneux, je le regardais. Devais-je lui répondre? Tout le monde semblait inquiet… Je devais d’abord analyser toutes les probabilitées pour que cet inconnu soit suspect et dangereux pour moi, d'une façon ou d'une autre.

La conclusion fut moindre, c'était sûrement un homme comme les autres, après tout… Je me tournais vers lui mettant une mèche de me long cheveux brun ondulé derrière mon oreille et lui dis :

« Quand on demande le nom d’une personne la moindre des politesse c’est de se présenter en premier »

Puis je repris sur le ton de la plaisanterie

« Tu sais ça sert à rien de t’énerver dans ce genre d'endroit, j’ai compris qu’il ne fallais s’attendre à rien de la part du service ici, il suffit d’observer le décors pour le voir … Mais tu n‘es qu‘un homme après tout c‘est normal de cogner avant d‘observer… »

Dans le fond, j’étais vraiment contente que quelqu’un est remis le vieux grincheux à sa place, mais ça je ne devais pas le laisser transparaître, non pas devant un homme, source de tout imprévu.

Je repris toujours sur le ton de la plaisanterie:

« Et puis, t’engloutire une bouteille de saké à toi tout seul, c’est vache t’aurais quand même pu partager » dis-je en faisant ma tête de petite écervelé bécasse comme je savais si bien le faire pour me protéger de tout imprévu potentiel.

Quand je lui ai demander son nom, elle a hésité
un peux avant de me répondre, sans doute a cause de la scène qui c'est
déroulée juste avant. Elle fini tout de même par me dire:

« Quand on demande le nom d’une personne la moindre des politesse c’est de se présenter en premier »

C'est vrai je lui accord sur ce point je n'ai pas vraiment géré.Elle enchaine ensuite sur un ton plutôt plaisantin :

« Tu sais ça sert à rien de
t’énerver, j’ai compris qu’il ne fallait s’attendre à rien de la part
du service ici, il suffit d’observer le décors pour le voir … Mais tu
n‘es qu'un homme après tout c‘est normal de cogner avant d‘observer… »

Je ne
fît pas attention a cette réflexion car pour moi le manque de respect
qu'a eu se vieux envers moi méritais une correction.Elle enchaîna
ensuite toujours sur le même ton plaisantin:

« Et puis, t’engloutire une bouteille de saké à toi tout seul, c’est vache t’aurais quand même pu partager »

Je me dit une fois de plus, c'est vrai elle a raison un fois de
plus.Raaa c'est pas possible qu'est-ce-que tu peux être débile mon
pauvre. Je lui dit alors mon nom et je lui dit:

-"En effet j'ai fait preuve d'égoïsme en buvant la bouteille de saké
tout seul. Pour me faire pardonner je te propose qu'on en boive une a
deux si tu veux bien."

Elle eu un petit moment d'hésitation comme si elle faisait exprès de
me laisser attendre ça réponse. Sa devais être une sorte de petite
vengeance . Elle fini par me répondre qu'elle étais d'accord, je pris
alors un autre bouteille derrière le barre tout en regardant le parton
avec un air qui disais "toi t'a pas intéret a dire quelque chose ou t'a
tête retourne sur le barre". Une fois que j'eus la bouteille en main
nous sommes partis nous assoir a une table pour déguster se saké.

Après ma réflexion, le jeune homme reconnu son "egoisme". En réalité j'avais juste dit ça pour le taquiner mais il était vraiment amusant.

Il m'invita alors à boire une bouteille avec lui. Il était étrange tout de même inviter une fille dont il ne connait même pas le nom à boire... Qui plus est je n'ai pas spécialement été agréable avec lui ...

Ma tactique pour empêcher les hommes de m'approcher serait-elle en train de s'affaiblir? Ou est-il simplement suspect, peut-être que c'est un espion qu'il me veut quelque chose...

Rah arrête ta paranoïa ma fille et accepte son offre! Et oui le saké et l'essence même d'une jeune fille en fleur telle que moi. Je ne peux pas y résister, c’est le seul amour de ma vie x_x

« Allez, c’est parti monsieur l’impulsif, tu me prend par les sentiment envoie le saké » dit-elle en affichant un large sourire malicieux.

Un verre, puis deux, et trois avant mes joue soit rougis par l’alcool et que je baisse enfin ma garde. Je m’étirais de tout mon être avant de regarder de plus près au fin fond de des deux émeraudes qui me servait d’yeux puis lui adressa la parole :

« Tu sais que t’es vraiment étrange toi ! Et puis tu m’as toujours pas dis nom. Vu ce que tu portes sur toi t’es sûrement un ninja. Tu devrais être plus sur tes gardes, et moi aussi d’ailleurs, mais bon que veux tu je peux jamais résister à du saké »

Elle enchaina avec son quatrieme verre de Saké qu'elle s'enfila d'une traite. Ces paupière commencais à ce baisser, la fatigue la gagnais, du moins c'est ce qu'elle faisait croire, car le moindre des ces gestes, la moindre de ces paroles était toujours calculé.

[HRP: Désolé, cruel manque d'inspi']

Icchiro la regardais boire. Elle c'était deja enfilée 3 vers de saké a une vitesse qu'il n'en revenais pas. Elle s'étirait puis me regardais avant de m'adresser la parole:

" Tu sais que t’es vraiment étrange toi ! Et puis tu m’as toujours pas dis nom. Vu ce que tu portes sur toi t’es sûrement un ninja. Tu devrais être plus sur tes gardes,
et moi aussi d’ailleurs, mais bon que veux tu je peux jamais résister à du saké "

Elle me trouve étrange et puis quoi encore. Je la regardais alors avant de lui répondre. Elle avais les joues rouges a cause de l'alcool. J'éspère que je n'aurais pas
à la ramener chez elle. Je decida alors de lui dire mon nom:

"je m'appèl icchiro et toi ??".

Elle ne me répondis pas encore et elle pris alors un quatrième verre de saké.Je vis alors qu'elle ne répondis toujours pas à ma question et je répondis alors a sa
deuxième question.

"Et oui je suis belle et bien un ninja. Je suis même sannin "

Je pris alors la bouteille de saké et je voulu me servir un autre verre mais il n'y avais deja plus rien dedant. Je la regardais et je me dit alors. Et bien
qu'est-ce que elle avais soif.Je me leva alors pour aller en chercher un autre.

[ps: Désolé si c'est fait a la va vite mais j'étais presser. Je reviendrais dans le soirée.]

Il me regardait boire, il avait l'air inquiet. Je me demande pourquoi, il ne croyait tout de même pas que j'étais saoul. Va pour pompette à la limite.

J'ai bu tellement de Sake dans ma vie que je suis imunisé. il m'en faudrais vraiment plus, pour me saouler! T'es né 100ans trop tôt mon coco.

Après quelque instant, il me dit enfin son nom : Icchiro. Nom étrange et peu banal selon moi, et puis quoi il avait pas de nom de famille? Les hommes de savait-il plus comment se présenter correctement de nos jours?

Ben je chercherais pas à en savoir d'avantage, c'est pas comme si il fallait s'attendre à quelque chose de la part d'un mec. Il me retourna la question et d'un air franc et massif je repondis :

« Saya, Oda Saya »

Juste après mes mots il repris et répondit à ma deuxième question. Il me dit, d'un air fière et vaniteux, qu'il était ninja et même Sannin pour reprendre ces propres mots. Bah, j'étais septique.

Il n'en avait vraiment pas l'air. Tout les Sannin que je connaissais était plus vieux que le monde, enfin, j'exagère.

Toujours est-il qu'il avait à peine vingt ans et ne parrassait pas particulierement mature, ou doué. Enfin, en y reflichissant je me souviens de l'étrange aura qu'il degageait tout à l'heure...

Alors que je reflechissais il avait déjà commander une autre bouteille, non mais pour qui il me prenait, une alcoolique ? Je repris alors là parole :

« Te fatigue pas, j'ai finis de boire, il faudra plus qu'une bouteille de Sake pour me mettre dans ton lit ! Et puis je vois pas pourquoi un Sannin viendrait se terrer dans un tel trou, rahh revois tes methodes de drague pour amener des filles chez toi, pervers ! »

Ben je plaisantais à moitier et j'attendais la réaction du prétendu Sannin avec impatience...

« Saya, Oda Saya »

Elle venait à peine de me dire comment elle s'appelait qu'elle me regardais d'un air étrange. Comme si elle doutais de mes paroles précédente. Lorsque j'ai commander une nouvelle bouteille de saké, pour mieux faire connaissance, rien de tel qu'une bonne bouteille d'alcool pour apprendre à se connaitre, puis elle avais l'air d'apprécier le saké qu'elle me dit des paroles qui ne me furent pas très plaisir.

« Te fatigue pas, j'ai finis
de boire, il faudra plus qu'une bouteille de Sake pour me mettre dans
ton lit ! Et puis je vois pas pourquoi un Sannin viendrait se terrer
dans un tel trou, rahh revois tes methodes de drague pour amener des
filles chez toi, pervers ! »

Comme si j'étais un pervers nan mais je rêve ou quoi. On invite une jeune demoiselle a boire un coup histoire de papoter un et peux toute suite elle pense que je veux la mettre dans mon lit... C'est bien une pensée de fille ça, toujours entrains de se monter la tête pour rien et de se faire des films. Après ces paroles qui m'eurent un peux bléssé je lui répondis:

-"Et ba ça fait plaisir d'entendre ça dit moi. Je t'invite à partager une bouteille de saké avec moi pour faire plus amples connaissances et toi tu pense que je veux te mettre dans mon lit. Forcement je suis un homme donc je suis obligatoirement un pervers! Et puis pourquoi un sannin n'irais pas boire un verre dans un taverne ?!"

Je me leva de la table en faisant glisser la chaise sur le sol pour aller cherche la bouteille de saké que j'avais commander. Je la pris et retourna à la table ou cette fille m'y attendais. Je la posa sur la table d'une façon bruillante et me rassie sur ma chaise. Je me servis un autre vers sans même la servir elle et avala la substance cul-sec. Puisqu'elle pense que j'essaye de la draguer je serais moins galant avec elle.Elle ne disait plus rien, le temps passait sans qu'aucuns de nous ne dise un mot. La seul chose commune que nous faisions tout les deux était d'enchainer verres sur verres. Puis je me decida alors à lui poser une question car ce qu'elle m'avais dit tout à l'heure me tracassais la tête:

-"Dit moi tu pensais vraiment se que tu m'a dit toute à l'heure ??"

Elle ne répondis toujours pas. Je pris alors un autre verre de saké et attendis sa réponse.

[T____T j'ai perdu mon premier rp > >]

Mes dernière paroles avait fonctionné à la perfection; il était vexé. Il ne dit rien pendant un instant, il était en pleine "réflexion" peut-être ne comprenait-il pas ma réaction...

Eh bien quoi ? Les hommes pensent peut-être que c'est faire preuve de galanterie d'offrir de l'alcool à une femme ? Il me prennait vraiment pour une alcoolique, celui-là...

M'enfin, après tout ce ne sont que des hommes, on ne peut pas leurs en vouloir d'avoir une façon de penser limité... Après quelques minutes de silence il reprit, énervé vexé.

Pour lui il n'avait rien à se reprocher - bien une pensé d'homme quoi -, ils pensent toujours être tellement parfait.

Malgrès cela, une chose censé et intélligente sortie de sa bouche - étonnant de la part d'un homme me direz vous -.

Il me dit d'un ton sarcastique : " Forcement je suis un homme donc je suis obligatoirement un pervers! ".

Je repondis en affichant un large sourire d'auto-satisfaction :

"Et bien oui, forcément tu es un homme donc tu es un pervers! J'te félicite c'est la première chose intélligente que tu dis de la soirée... Tous les hommes sont pareil, égoiste, pervers, et j'en passe, si je devais énumérer tout leurs défauts ont y passerais la soirée, voir plus"

Il se leva pour aller chercher la bouteille de saké qu'il avait commandé juste avant ma réflexion.

A son retour il posa la bouteille sur la table avec une telle violence que j'ai cru que la vielle table en bois avait manqué de se briser. Il se servit puis bu son verre d'une traite. Il était vraiment trop impulsif...

Je me servais un verre, répondant à sa deuxième question :

"Pour répondre, à ton autre question, comme je te l'ai déjà dis, tu ne sais pas observer. Regarde autours de toi, cet endroit c'est un vrai trou où fourmille toutes sortes d'illégalités. Les gens viennent pour récolter des informations ou faire toutes sortes d'échanges illicites... Regarde bien leurs visages, vieux ou jeune, ils sont tous marqué par le temps d'une vie dur et rude... Donc voilà pouquoi je ne vois pas ce qu'un sannin viendrait faire ici!"

Pendant quelques - longues - minutes, le bruit frénétique des verres de saké cognant sur la vielle table en bois s'enchainait. On ne se parlait plus, un silence de maitre reignait jusqu'à ce que sa voix vienne l'intérompre, me demandant :

"Dit moi tu pensais vraiment se que tu m'a dit toute à l'heure ??"

Après quelques secondes, - le temps que l'information arrive à mon cerveau xD - je lui repondis, d'un ton plus doux, mon ardeur sans doute ramolie par l'effet de l'alcool :

" Eh bien je le pensais à moitier "

Après un autre verre, je repris la parole dans un court instant de franchise provoqué par l'alcool :

" Je déteste vraiment les hommes "

Elle me dit qu'elle ne voyais pas un sannin venir dans un endroit comme celui-ci. Et puis quoi encore. Un sannin, tout comme un autre est personne est libre de choisir l'endroit ou il va se boire un bon petit verre de saké nan ??(même si moi j'en ai but un peux plus qu'un ^^). D'après elle dans cette taverne qui selon moi ne tiendra plus debout encore très longtemps vu à quel point elle est insalubre, on trouve toute sortes de personnes. Des vieux des jeunes, des personnes qui venais ici pour y faire des échanges quelconques, alors je ne voix pas pourquoi je n'ai pas ma place ici alors qu'on n'y trouve toutes les classes sociales du village. Tout un amas de monde qui viennent boire un verre ici entre amis ou seul comme moi à la base. J'aurais mieux fait de la rester ...

Elle me dit ensuite que se qu'elle m'a dit toute à l'heure, comme quoi je voulais la mettre dans mon lit etc, elle ne le pensais qu'a moitié. Cela veux dire qu'elle le pensait quand même. J'aurais préféré qu'elle me dise qu'elle ne le pensait pas et que c'était une blague mais bon ... après tout se n'est qu'une femme, elles aimes bien se faire des histoire et s'imaginer des choses qui ne sont pas vrai ...

Au moment ou j'allais lui répondre pour essayer une fois de plus de la convaincre que je ne voulais pas la mettre dans mon lit, elle posa sont verre sur la table et glissa une phrase qui étais négative encore un fois:

" Je déteste vraiment les hommes "

Et ba dit donc cette femme n'apprecie pas du tout les hommes.Je pris alors la parole sur le ton de l'ironie:

-"ET bien on peux dire que toi et les homme ne vivez pas une grande histoire d'amour ! Puis si tu n'aime pas ma compagnie il te suffit de ma le dire et je m'en irais. Je ne te dérangerais pas plus longtemps ."

Apparament il n'était pas satisfait des mes réponses... Il aurait peut-être voulu que je lui dise que ce que j'avais dis n'était pas vrai ? Désolé mon coco, mais les hommes sont tous les mêmes!

J'avais chaud, l'atmosphère etait lourde. Je pris mes cheveux en arrière pour me les attacher en une longue queue de cheval, laissant les quelque mèches qui s'étaient échappé encadrer mon visage. Je me sentais déjà mieux.

Je le regardais attentivement et me demandais s'il pouvait vraiment être sannin.

Après tout si on considèrait qu'il avait passer toute sa - courte - existence à s'entrainer et qu'il avait une certaine dose de talent naturel, c'était tout à fait probable.

Bah, toujours est-il que si c'est la vérité, je ne l'enviais pas du tout. Tous ces gens qui compte sur toi, avoir des devoirs envers ton village, être sans cesse serieux, c'est d'un ennuie!

Je n'imagine même pas le calvaire que ca doit être. Les responsabilités apporté avec ma promotion en tant que chuunin c'est déjà trop. Je ne demandais qu'à rester innaperçue moi, mais bon si j'en suis là c'est encore à cause d'un homme, biensur, c'est toujours à cause d'eux.

Le dénommé Icchiro repris sur un ton ironique :

"ET bien on peux dire que toi et les homme ne vivez pas une grande histoire d'amour ! Puis si tu n'aime pas ma compagnie il te suffit de ma le dire et je m'en irais. Je ne te dérangerais pas plus longtemps ."

Hahaha, c'est qu'il était drole celui là, je repris d'un ton audacieux :

"Je ne vis pas une grande histoire d'amour avec les hommes? Dis moi t'es perspicace toi, t'as trouvé ca tout seul?"

Puis d'un ton plus calme elle repris :

"Ne te vexe pas, ce n'est pas ta compagnie en particulier que je n'aime pas, non au contraire pour un homme tu es plutôt suportable. C'est juste que les hommes sont des traitres tous ce qui arrive à cause d'eux est mauvais. Maintenant, ne te donnes pas la peine de partir, si je t'insuporte, c'est moi qui m'en irait"

Invité

[Post Médiocre désolé...]

Un soleil de plomb avait régné toute la journée dans les cieux sans aucun nuage pour le détrôner. Il devait bien faire 20°C et aucun vent pour rafraichir qui que ce soit. Pour se changer les idées, Kira Suzembachi décida de s'entrainer à la plage. Il lui fallu environ 3 heures de marche avant de vraiment s'y mettre. En réalité, il marchait et à chaque fois il avait la flemme de commencer l'entrainement. En effet, là où Kira s'entrainait était situé dans le Pays des vagues, a mi-chemin entre Kiri et Konoha no Kuni. Sous une chaleur étouffante, Kira s'entraina sans relâche. Il décida de perfectionner ses attaques, tout particulièrement celle de son Kekkai Genkai, Osameru Kemuri No Jutsu, l'Art de Manipuler la Fumée. Il en avait bien besoin car pour l'instant sa quête de puissance n'était pas encore au point. Maintenant qu'il avait créer son Organisation, Kitai, Kira se sentait bien. Mais il ne pouvait supporter l'ambiance qui y régnait en ce moment dans le monde Shinobi. Il savait qu'a n'importe quel moment une guerre pouvait éclater sans prévenir. Et en ce moment, il devait devenir plus fort. C'est pour cette raison qu'il s'entraina toute l'après-midi. Pour l'instant, son objectif était de devenir plus fort pour pouvoir montrer sa valeur au monde entier. L'entrainement consistait donc à augmenter la puissance du Ninpô, Chissoku No Kemuri. Une technique assez efficace et rapide. Une parfaite petite attaque de base pouvant se révéler fatale à certains moments. Voyant à l'horizon que le ciel commençait à aborder une teinte rosâtre, Kira décida de rentrer à son QG. De plus, il avait acheté un bol de Ramen qu'il avait laissé la-bas pour son dîner. Et justement, ce dernier l'attendait. Il commença donc à rebrousser chemin. Il lui restait 3 heures de marche pour pouvoir rentrer à son campement...

Cela faisait maintenant 20 minutes qu'il marchait en direction de Konoha. Tout se passait bien même si Kira était constamment sur ses gardes. Avec l'état actuelle des choses, un Shinobi ennemi pourrait faire irruption à n'importe quel moment et attaquer Kira. Sachant qu'il était un Nukenin, il ferait une bonne proie. Suzembachi ne savait pas pourquoi les Nukenins étaient si mal vu par tout le monde. Mais maintenant cela lui était égal. Maintenant qu'il était entièrement libre de faire ce qu'il voulait, il ne devait que se faire plasir. Le soleil commençait à se coucher et Kira devait être arriver avant la fin de la nuit car la nuit, il était vraiment risqué de s'aventurer en dehors de chez soit. Il accéléra donc le pas. Mais la nuit tomba plus rapidement que prévu. Il était trop tard pour s'aventurer en extérieur lorsqu'o nétait un Nukenin. Kira décida alors de se fondre dans la masse et d'integrer le village de Konoha no Kuni. Sa cape noire à capuche rabattue sur sa tête, Kira Suzembachi passait incognito et se mêla parmis les villageois du village. Il devait rapidement trouvé un endroit où il pourrait se réfugier car déjà il avait attirer l'attention de deux trois Juunin. Il ouvrit alors la porte d'une taverne qui à première vue semblait être fréquentée par des personnes assez louches. Lorsqu'il ouvrit la porte un silence de mort regna. Il scruta d'un clin d'oeil les alentours puis s'avança vers le comptoir toujours avec sa capuche sur la tête avant de dire d'une voix assez autoritaire :

"- Deux verres de saké."

La politesse n'était pas le fort de Kira. De plus, Konoha, il connaissait ce village comme sa poche. Des mauvais souvenirs émanaient de ce village pour Kira. Il attendit alors patiemment ses verres en s'assayant sur un tabouret situé juste en face du comptoir...

"Je ne vis pas une grande histoire d'amour avec les hommes? Dis moi t'es perspicace toi, t'as trouvé ca tout seul?"

Nan mais je rêve ou quoi elle me prend pour un con ?! Bon allé je ne vais pas m'énerver. Je vais plutôt prendre ça à la rigolade.Puis d'un ton plus calme elle repris alors la parole.

"Ne te vexe pas, ce n'est
pas ta compagnie en particulier que je n'aime pas, non au contraire
pour un homme tu es plutôt suportable. C'est juste que les hommes sont
des traitres tous ce qui arrive à cause d'eux est mauvais. Maintenant,
ne te donnes pas la peine de partir, si je t'insuporte, c'est moi qui
m'en irait"

Je dois bien avoir que sur ce point la elle à raison, les hommes sont des traitres. Mais en revanche ils ne le sont pas tous loin de la. Si tout les hommes étaient des traitres je ne pense pas que le monde en serais la au jours d'aujourd'hui. Elle ne pense pas à tout les hommes qui se sont sacrifié pour leur honneur et leurs pays. Pour leurs famille aussi. Beaucoup d'hommes sont tombé au combat pour protéger une nation qui leurs était chère. J'étais entrain de commencer à m'énerver car se qu'elle vient de dire, que tout les hommes étais des traitres. Cela veux dire que indirectement elle parle aussi de ma famille et de mon père qui sont mort pour ce village.Mais cependant je voulu évité de m'emporter.Je pris donc un nouveau verre de saké et pris une grande respiration avant de lui dire d'une voix plus sérieuse:

-"Je t'accorde le fait que les hommes sois des traitres. Moi même j'ai vécu des situation ou des ninjas du paye ont traîs le village.Par exemple lors de la dernière guerre shinobi, un groupe de ninja du clan uchiwa ont traïs le village pour s'allier a notre ennemi qui était à l'époque iwa. Et ouais j'ai vécu la dernier guerre que le monde shinobi ai connut. Je ne fait pas mon âge hein ??. Mais en revanche tout les hommes ne sont pas des traitre comme tu dit. Mon père est mort pour sauver l'honneur de sa famille (qui a été tué par iwa ainsi) et celui du village. Il c'est sacrifié pour se que tu connait aujourd'hui donc je ne te permet pas de parler comme ça de lui car serte tu ne l'a pas désigné lui en particulier mais en désignant tout les homme dc en le mettant dans le même lot c'est si tu l'avais fait."

Je voulus reprendre un autre verre de saké mais la bouteille étais une fois encore vide.. Je tourna alors la tête afin de regarder le décors de cette pièce. Il n'y avais pas beaucoup de lumière. On voyait aussi la poussière qui flottait dans l'air grâce aux quelques rayons de lumière qui purent entré par les fenêtres noir de crasse. Je regardais alors en direction du vieux et lui demanda de nous redonner une nouvelle bouteille de saké.

Après ma réflexion, il ne repondit pas immédiatement. Son visage passa par plusieurs étapes, colère puis tristesse aussi. Je me demandais à quoi il pouvait bien penser...

Il pensait surement que j'avais tord, ben après tout les hommes ne reconnaissent jamais leurs défauts, ils en ont tellement. Mais il interompit mes penser en me contre disant.

Dans un premier temps il avoua que les hommes étaient des traitres sans gnèe. Premier bon point, un homme qui me donne raison, est un homme un peu moins idiot que les autres!

Pour avancer ce qu'il disait il m'expliqua que pendant la dernière guerre shinobi un groupe de ninja avait trahi leur propre village. Ben ça ca ne m'étonnait absolument pas, j'avais déjà entendu des dizaine d'histoire comme celle-ci. Ce qui m'étonna en revanche, c'étais le fait qu'il avait soit-disant participer guerre shinobi. Comment quelqu'un d'aussi jeune aurait pu assister à la dernière guerre shinobi ?

Puis, il me contredit une nouvelle fois en me disant que tous les hommes n'étaient pas des traitres - ben ouais c'était trop beau pour être vrai, un homme qui me donne raison -.

Il me raconta l'histoire de son père, mort au combat pour protéger le - superbe - village pleins d'abrutis que je connais aujourd'hui. Ben quoi? Il croyait peut-être que j'allais le plaindre, des histoire comme celle-ci j'en ai entendu plein et, personnellement je trouve ca débile de mourir pour son village, surtout s'il s'agit de Konoha.

Choisir de mourir pour sauver des inconnus plutôt que de continuer à vivre avec les siens. Je ne comprend vraiment pas ce genre de mentalité idéaliste, mais ça je ne vais pas lui dire.

Car s'il y a bien une chose que je respecte, c'est la mort, les morts. Après tout la seul chose où l'homme et la femme sont égaux c'est bien face à la mort. Par politesse je répondit :

"Désolé pour ton père..."

Mais j'étais encore abassourdis par la nouvelle que je venais d'apprendre. Non pas la mort de son père mais le fait qu'il est participer à la dernière guerre shinobi.

Je voulu alors lui demander son age, mais il était déjà parti rechercher une bouteille de saké. Alors qu'il venait de poser une nouvelle bouteille sur la table, la porte en bois s'ouvrit de nouveau. Je pris alors la parole :

"Au fait, quel age as-tu ?"

Mais je m'arretais vite, en même temps que la musique et que tout le monde d'ailleurs. Je ne regardais pas derrière moi. Je levais juste les yeux vers le miroir, en face de moi.

Je vis un homme imposant et massif vêtu d'une cape et d'un capuchon qui cachait son visage. Il alla directement au bar pour commander deux saké. une aura mystérieuse émanait de lui, limite inquiètante...

"Au fait, quel age as-tu ?"

Elle me demanda mon age mais je suis pratiquement sur que même si je lui répondis elle ne me croirait pas...Bon allé je lui répond quand même histoire de lui faire plaisir. Mais avant cela je pris un autre verre de saké car je commençais à avoir chaud et soif:

-" Je ne pense pas que tu va me croire car je ne les faits pas mais j'ai très exactement 35 ans. Et j'ai également belle et bien participé à la toute dernière guerre shinobi connut à ce jours il y a de cela un quinzaine d'années. Pour te le prouvé je vais te montrer se que j'ai eu suite à cette guerre."

Ces alors que j'activa mes deux sharingan. Elle fut surprise de me voir posséder ces yeux car je ne fait pas partis de se clan. C'est alors que pour l'aider a comprendre je lui expliqua se qu'il c'est passé.

-"Je voix que tu est étonné de me voir possédé ces yeux. Je vais donc t'expliquer comment je les ais eu. Tout à commencer lors de la guerre shinobi. Des ninjas du clan uchiwa eurent trahis le village. L'homme sous les ordres de qui j'étais me donna pour mission d'aller attaquer se groupe avant de les rejoindre à iwa pour terminer le travail. Mais vers la fin de la bataille je fut très grièvement blessé aux deux yeux et je perdis la vu. Le reste de mon équipe m'avais ramener au village avec un petit groupe de prisonnier pour que je m'y fasse soigner et c'est la que l'on ma implanté ces yeux. Oui le clan uchiwa pris les yeux de traitres de leur propre clan car pour eux ils ne méritais pas de posséder des yeux avec de tels pouvoirs. Il décidèrent alors de me les offrir pour tout se que j'avais fait pour le village et c'est grâce à eux que je peux de nouveau voir aujourd'hui et je leurs en suis très reconnaissant."

Elle fut surpris d'apprendre cela, ça se voyais sur son visage. Je désactiva alors mes sharingan pour ne pas utiliser trop de chakra et je pris un autre verre de saké avant de commander deux autres bouteilles pour évité de devoir en demander un toute les 5 minutes tellement on les descendais vite. Puis ces alors que je tourna la tête vers cette homme mystèrieux. Il étais vêtu d'une cape tout noir qui se prolongeais en capuche au niveau de sa tête. Il étais grand et robuste. Il n'avais pas l'air d'être aimable puisqu'il demanda un verre de saké au serveur d'un voix grave sans un mot de remerciement . Il me rappelais quelqu'un d'ailleurs. Mais bon je ne fît pas plus attention à lui et m'enfila un autre verre de saké .

Invité

Je laisse mon tour pour cette fois...

[Désolé d'avoir trainé, j'avais vraiment pas d'inspi']

35 ans? Il se fichait de moi ou quoi ? Avec un visage aussi jeune sans aucune ride et une silhouette si fine et athlétique. D'habitude les hommes de cet age commencais tout juste à s'empater, leurs premiere ride apparaissait et leurs look commençait généralement à être négligé.

Cela me supris, je pense d'ailleur qu'il l'avait vu sur mon visage. Mes yeux s'écraquillère comme si je venais de voir un fantome et ma bouche restait entre ouverte. Je devais avoir l'air bien conne moi, maintenant à gober les mouches.

Alors que j'allais me ressaisir, mon visage devint encore plus incrédule en voyant ces yeux : des sharingan. Comment était-ce possible ? Je croyais pourtant que seul les uchiwa pouvait posséder ces yeux. Et jusqu'à maintenant je n'avais jamais entendu parler d'un uchiwa du nom d'Icchiro.

Alors qu'une multitude de question se bousculait dans ma tête, il repris la parole, mettant fin à toutes les questions que je me posais. Il reprit le recit qu'il avait commencer tout à l'heure, sur la dernière guerre shinobi. Il m'expliqua qu'il avait perdu ces yeux et qu'on pris ceux d'un traitre pour les lui implanter.

Tout s'expliquait maintenat. En revanche j'ignorais que l'on pouvait implanter les yeux d'un corps étranger dans l'organisme de quelqu'un, tout en gardant ces facultés héréditaires. Bah je dormirais moins bête et grace à un homme en plus... Rah j'arrive pas à le croire, faut pas que je traine plus longtemps avec lui ou je vais finir par me ramolire.

"Eh bien, j'ignorait tout ça, tu es peut être sannin, après tout. C'est vrai que quand tu es rentré dans le bar tu semblais différent mais bon, j'étais loin de me douter de tout ça..."

Je levais alors les yeux vers l'horloge en face de moi - juste au dessus du bar -, et regardais l'heure avant de boire un autre verre de saké.

"Il est déjà très tard, je crois que je vais y aller, sauf si tu veux me dire d'autre chose, sur toi, sur ton passé. Même si je déteste l'admettre tu es quand même intéressant, pour un mec... Et merci pour le saké !"

Rah je n'arrive pas à croire que je lui ai dis ça ...

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