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     Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ]

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    2 participants
    AuteurMessage
    Sadame Eiyo
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    Sadame Eiyo


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    MessageSujet: Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ]   Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ] I_icon_minitimeVen 14 Aoû - 11:16

    Ce monde comportait de si grandes choses, parfois considérées comme des merveilles, parfois comme des horreurs. Naturelle ou humaine cela importait peu dans le cœur des Hommes. La nature de la chose était belle ou laide, qu'importe son origine. Certains prétendaient changer d'opinion face à la découverte du passé jusqu'à présent ignoré. Mais la réalité était bien loin de là. Qu'importe son passé, l'avis restera toujours le même, prétendre le contraire n'était que croire en un idéal pour les plus doux et envieux de paix et d'amour. Croire en de si beaux idéals était peut-être beau pour certains mais si dérisoire et inutile pour d'autre. Passer de la haine à l'amour en connaissant l'histoire de cette chose n'était qu'une erreur, un mensonge. Peut-être même une question de jugement. Le jugement, le vis à vis et le point de vue, trois choses faisant un avis et des pensées toujours plus variés et étrange les uns que les autres. La question était longue et les débats s'en suivant pouvaient durer des jours et des nuits sans pour autant trouver une réponse. Alors qu'importait la réponse générale, le plus important était de savoir la réponse pour ça et d'oublier le reste. Faire preuve d'égoïsme en soi, même si beaucoup de gens répugnait cette chose, il était évident que tous passait par l'égoïsme et l'envie personnelle. Faire passer soi avant les autres, une chose dont personne ne pourra se passer. Prétendre ne pas l'être n'est finalement qu'un mensonge de plus. La seule conclusion que l'on peut tirer de tout ça n'est rien d'autre que de dire que la nature humaine n'est que contradiction.

    La race humaine, une chose en laquelle Eiyo avait autrefois cru. Voulant découvrir ce monde qui l'entourait, connaitre ce monde dans lequel il vivait. Face à cette découverte, certains auraient eu tendance à vouloir dire n'avoir jamais voulu découvrir ce monde corrompu et rester loin de tous dans une vie paisible et tranquille. Loin de la guerre, loin de la haine, loin du regard des personnes nous entourant. Pourtant, Eiyo n'était pas de cet avis, ayant vu le monde existant, il pouvait à présent agir en connaissance de cause. Qu'importe ce que les gens penseraient, un jour ou l'autre ils mourront, de sa main ou de celle de la mort, restait à savoir qu'elle serait la plus douce. Non, il n'espérait pas tuer toute la race humaine et ne laisser vivre que les plus méritant car une fois encore le jugement interviendrait. Pour lui, chaque humain était tout aussi corrompu et devrait être traiter de la même manière. Peut-être aurait-on tendance à le prendre pour un fou croyant être un élu d'une quelconque prophétie, un fou se prenant pour la main droite de Dieu ou au contraire pour la faux de la mort. Mais qu'importait l'opinion, ce n'était pas ça qui les sauverait.

    Finalement, qu'était Eiyo dans ce monde ? Un homme parmi tant d'autre ? Un ninja parmi des milliers ? Un fou se prenant pour un philosophe dans son unique raison que tous ignorait ? Pour lui, le seul moyen de se définir était de dire qu'il n'était qu'éphémère. Qu'importe sa nature, ses ambitions ou tout ce qui y ressemblait de près ou de loin, le meilleur moyen de se définir était de dire, qu'un jour, sa propre fin arriverait comme tout être vivant sur cette terre. Avait-il peur de ne pas se définir ? D'être lui même corrompu par la prétention et un jugement faussé par sa propre personne. Peut-être, ou peut-être n'était-ce que l'envie de ne pas être définis, d'être perçu comme chacun l'entendait et de ne pas donner une image qu'il aimerait avoir, il était lui, tout simplement. Qu'importe le reste, il agissait comme bon lui semblait dans un but unique : mettre un terme à tout ce qui n'a duré que trop longtemps. Un but vaste et parfois complexe que peu ne comprendrait, même s'ils essayaient.

    À l'heure actuelle, alors qu'il marchait d'un pas lent mais régulier et souple, il n'avait qu'une idée en tête, ou du moins, qu'un point fixe : trouver Gobi. Monstre de ce monde, souvent considéré comme un destructeur apportant chaos et désolation, ce monstre, bien loin d'être le plus puissant parmi les siens, renfermait un pouvoir sans égale. Une capacité de maitrise de chaque type élémentaire, feu, eau, foudre, terre, vent. Une capacité unique qui permettrait alors à Eiyo de parvenir plus facilement à ses fins. Ce démon, depuis longtemps errant dans ce monde ressemblait presque au nuke-nin qu'était l'invocateur d'exception. Une large capacité d'attaque pour une errance sans début ni fin, sans véritable objectif si ce n'est que vivre et survivre. Eiyo n'espérait qu'une chose, pouvoir le ramener avec lui afin d'exploiter son pouvoir et d'en faire l'une de ses pièces maitresses. Mais l'épreuve serait rude et l'amènerait à de lourd combat, mais il était prêt. Prêt à combattre jusqu'à ses dernières forces et jusqu'à sa défaite en laquelle il ne croyait guère.

    Il était en marche depuis maintenant une dizaine d'heures, peut-être moins. Ses espions de nature animale avait repéré des points significatifs d'une telle présence. Pour tout dire, un village avait été rapidement rasé par une forme peu commune, un chien à cinq queue. Eiyo n'avait jamais réellement espérer maitriser Gobi et en tirer avantage, c'était à l'annonce de cette nouvelle qu'il avait eu cette idée. Encore fallait-il le trouver à présent. Mais ce n'était pas un problème, Eiyo avait d'excellent pisteur et les indices seraient nombreux, odeur, empreintes ou blessures potentielles bien que peu assurées. Il comptait bel et bien le maitriser et l'utiliser pour parvenir un peu plus rapidement et efficacement à ses fins. Était-il mauvais ? Insensible à ce que pouvait ressentir l'animal ? Si la question se posait pour lui, alors elle se posait pour l'animal lui-même. Étrange idée qu'était là, étrange mais intéressante. Hélas, loin de l'être suffisamment pour en faire un sujet de débat et y réfléchir des heures durant. Le plus important était probablement le fait qu'il était enfin arrivé ...

    Un champ de ruine se tenait devant lui, quelques fins nuages de fumée laissant voir les dégâts causés par les morsures des flammes. Un sol parfois fissuré, parfois blessé par de lourdes attaques. Des maisons en ruine et inhabitable, un champ de désolation à l'état pur. Quelques cadavres gisant sur le sol baignant dans une marre de leur propre sang et se vidant du reste. Des visages apeurés, effrayés, vide de vie. Une attaque massive avait eu lieu ici, nul doute qu'il s'agissait de Gobi. Il n'était plus très loin, peut-être était-il même dans les environs. Eiyo devait récupéré un maximum d'information pour le savoir. Invoquant deux aigles, il les envoya tout deux dans les cieux pour une mission de reconnaissance. Pet-être trouveraient-ils quelques indices.

    Se tenant au milieu de ces ruines, immobiles, les bras le long du corps, son visage caché par cette habituelle capuche le laissant dans l'ombre pour ne pas être reconnu, l'invocateur regardait attentivement chaque endroit, chaque détail. En soi, tout ce qui pouvait donner une indication sur ce qu'il s'était passé ici. Il n'était pas seul, peu avant de s'engager totalement dans le champ de ruine, il avait invoqué une tortue, pourquoi une tortue ? Tout simplement pour sa capacité de défense. D'une taille légèrement plus grande que ses semblables, elle gisait aux côtés de son invocateur, tout aussi immobile et prête à le suivre ou à le défendre en cas d'attaque. Il devait se tenir prêt à toute possibilité, après tout, Gobi pouvait être encore dans le coin. Ce ne fut que quelques minutes plus tard qu'un de ses aigles parvint à lui envoyer un message indiquant une présence humaine. À l'affût, Eiyo attendit alors le contact ...




    [ j'espèe que ça vous va ^^' ]
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    Saïka Kaguya
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    Saïka Kaguya


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    MessageSujet: Re: Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ]   Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ] I_icon_minitimeVen 14 Aoû - 14:02

    Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ] Naruto-Gobi-Bijuu
    Gobi, seigneur des enfer, passeur d'âme; Protecteur de ses sujets venant de souffler l'air pour la dernière fois sur terre. Il était autrefois l'ami de Nekomata, le vrai maitre de l'autre monde, peut-être fut-ce pour lui voler ses pouvoir qu'il accepta ce travail ? Ou bien juste pour être proche de son amis ? Un amis qui le trahiras, lorsqu'en quête de pouvoir, et dans le but d'arrêter le fou et démoniaque Kyuubi, ils s'allièrent et durent combattre dans le plus épique des combats divins... Et pourtant, malgré cela, les humains n'aimez pas Gobi, ils en avaient peur. Un démon pourtant si bon avec le peuple des humains... Une fois trahis, le pauvre démon avait utilisé ses pouvoir de Mokuton pour ce cacher, il rencontra alors un jeune; fils de forgeron. Ce jeune devin son amis, selon les légendes Kaguya'H'K; il y apprit l'art du Kinton et protégea le jeune et sa famille, les aidantg à fonder Iwa. Au pied d 'Iwa il y avais encore la montagne interdite dans la qu'elle il avais trouvé refuge, ainsi qu'un arbre gigantesques, capable d'accueillir le plus imposant des bijuus... Ce seigneur de puissance et de pouvoir avait selon des textes plus anciens encore, détruit les éléments, non pas pour les contrôler comme disais certains hérétique; Mais pour les empêcher de déverser leur colère sur l'humanité... Qu'elle, bêtise !

    Et des rumeurs était venus jusqu'à elle. Ses oi-nin en missions l'avais... Combattus ? Tous passerez au fer pour cette hérésie ! Car oui, Iwa était convertis au culte de sa maitresse suprême. Combattre Höko était un crime normalement punis de mort, mais Saïka aimé son nouveau peuple, sa nouvelle famille, la punition seraoi douloureuse, mais courte et suffisante ! Alors elle les interrogeas: Kyrioku, le pays de la mort, bien sur ! Ou d'autre le passeur pouvais il être... Un village ? De civils ? Détruit ? Bien sur, bien sur, cela ne pouvais pas être Gobi, et les oi-nn le lui confirmèrent. Des traqueurs de bijuu minable l'avais poussé à combattre ici. Et ce furent leurs jutsu qui détruisirent le village et non l'inverse ! Finalement; ils avouèrent leur péché. Le pensant blésé ils essayèrent de s'en emparer. Pour cela, ils serait attaché à un pentacle en bois sur la place publique durant une semaine, dus et taillader un peu a chaque heure du jour et de la nuit...

    Elle soupiras, et attrapa du bout de ses doigts ses vêtements, ils était propre aux yeux de beaucoup de ninjas, mais pas aux siens. Ni elle d'ailleurs, elle relevas son regard sur une de ses meches de cheveux. Il faisais presque totalement noir dans le temple de la Tsuchikage, mais cela ne l'empêcha pas de voir, bien au contraire ! Après avoir commander les préparatifs d'une expéditions au chef de sa garde d'élite; Elle partit dans ses bains chauds privés; Prit le temps de ce laver, de s'habiller d'une tenue propre et s'en alla en dehors de son temple, la précaution fut de fermer les yeux, il faisait encore jour dehors et Saïka ne pouvais voir en plein jour.

    En face d'elle ce trouver cinq ninja que ses échos identifièrent parfaitement, sa troupe d'intervention spéciale. Sans doute possible, l'un d'eux tenait un énorme sac de provisions, l'autre aussi avait un énorme sac, des affaire de toilettes de la Tsuchiakge ! Les trois autres étant inférieur en taille et en force physique, ne porter aucun paquetage, quoi qu'ils aurais pus s'apporté quelques affaires s'ils l'avaient souhaité. Enfin bref; après cette revue en détail de ses cinq préférez, le groupe partit. Iwa n'était pas sans chef, le bras droit de Saïka diriger en son absence.

    ~~~~~~

    La marche ne fut pas très longue, il était tôt en fait lors de leur départ, il était tard lorsqu'ils arrivèrent. En fait le soleil commençait à peine à tomber dans l'horizon et il était facile de penser que d'ici une heure ou bien trois quart d'heure il ferais assez sombre pour que Saïka puisse ouvrir les yeux sans la moindre difficulté à cinq kilomètres du villages, le groupe s'arrêta. Saïka renifla l'air ambiant. Une délicate odeur envahis rapidement le petit trou de foret dans le quel ils était; ils ne c'était pas fatigué, Saïka ce sentait encore assez propre et son parfum rependais encore sa délicate odeur de rose ou de bonbon, en fait une odeur assez indescriptible. Alors elle regarda ses ninja, ou enfin, tourna son visage aux yeux fermé vers ceux ci, et leurs indiqua des zone de recherche, s'appropriant le village pour elle...; Tous ce réunirais ici dans vingt quatre heure. Une technique de Doton d'un des sbires servis à cacher les paquetages sous terre; Ils d'une approbation de la tête, les cinq sbires s'en furent. Saïka elle ce retourna alors dans la direction du village et partit sans forcer l'allure vers celui-ci, lorsqu'elle bondit sur la dernière branche, ses échos avaient depuis longtemps détecté la présence d'une personne et d'une tortue... Un survivant ? La police du pays ? Peu importer, Saïka n'avais pas envie d'être inutilement prudente. Le bout de ses chaussures arrondis qu'elle détecta indiquer qu'il était tourner face à elle, ou, presque...

    A nouveau elle bondi pour atterrir sur ce qui sembler être un reste de toiture encore stable, assez proche elle bondit cette fois-ci en face du shinobi, enfin, à une dizaine de mètres. De toute évidence il attendais quelque chose. Soit il était traumatisé, soit c'était un ninja qui avais repérer la présence de Saïka, et c'est pourquoi Saïka avais choisis cette approche. Autant être franche et directe, peut être apporterai il des informations intéressantes.

    Les cheveux lâche chez elle n'était pas une habitude mais elle avais en horreur depuis quelques temps ce gros nœud qui noué ses cheveux d'habitude, Ceux-ci tombez donc jusqu'en bas de ses omoplates; Et un nombre assez hallucinant de mèches tombée devant ses yeux. Ce qui ne la gêner pas particulièrement, mais les sentant touché ses paupières fermées, elle eue ce réflexe d'en attraper d'un subtil revers de la main et de les replacer derrière une oreille pour leur faire prendre forme. Ses échos allait et venais, mais des le premier elle avais détailler ce qu'elle voyais, deux demi centimètres de chaussures était dans sa tête, un long vêtement à capuche... Tel une robe de secte u de mage mais en tissus assez fin, ou, c'est ce qu'elle entrevus d'un des bords tourné vers elle.

    La cape pour la vue d'un humain, disons, normalement constitué; Aurais du cacher le visage par l'ombre créer... Mais les échos passez outre l'ombre et elle distingua un visage bien plus fin et délicat que la tenue ne voulais le faire croire; Quelques mèches de cheveux ce jeté dans cette ombre, cachant en partie le front du shinobi, qui était donc un homme. Enfin... Certainement !

    Enfin elle ouvris les lèvres, elle devais bien dire quelque chose. Un gros smille ce dessina sur ses lèvres, enjolivant son visage, l'illuminant aussi. Saïka avais beaux être Tsuchikage, elle était souvent dans l'ombre à Iwa et n'était par conséquent que peu bronzer comparer aux autres habitants du pays. Cependant, pour ceux d'un pays comme celui ou elle ce trouver, elle n'avais rien de trop clair, peut être même avait elle des reflet de peaux « doré », signe d'une présence au soleil... Une habitante du coin qui revenais de vacances peut-être ? Enfin bref. Après ce smille, elle hocha légèrement la tête de coter et la mèche précédemment écartée revins la gênée...

    « -Haï ! »

    Elle avais les bras dans le dos, ses mains l'une dans l'autre. Son sourire toujours en avant, elle s'amusa à faire un pas en avant lorsqu'elle eue replacer ca tête bien a l'horizontal de son corps. Ou était passé tous les affres de ses pensées, souvenirs, concernant Höko ? Envolé ? Peut-être, ou peut-être pas ! Suite à son premier pas, elle avança d'un second en même temps qu'elle continua de s'adresser au shinobi:

    « -Saïka... Et vous ?... »

    Une bourrasque souffla, soulevant cheveux et vêtements d'une manière assez épique pour tous intrus qui aurais vus la scène de loin... Deux ninja face à face;Un nuage de poussière vola entre les deux alors que l'odeur du sang envahis les narines de Saïka, garderai elle le contrôle d'elle bien longtemps dans un endroit pareillement ravagé ? Le sang l'enivrerai certainement rapidement, pour peu que la colère ne naisse en elle; Alors; Elle ne répondrai rapidement plus de rien.

    Citation :
    -->> https://2img.net/r/ihimizer/img188/253/saikaa.png

    Cette tenue ressemble aux toges à la romaine ou à la grecque mais beaucoup plus stylisé. En fait Saïka l'à faite elle même avec des maitres de toges. Faisant de cette tenue dépassée, une tenue BCMG dans le pays du sable. Des chaussures grossières et marrons, attaché par un système compriment presque les veine de manière à ce que le sable ne s'y infiltre pas. De cette faute de goût nécessaire, ce dévoile des bas noir foncé attire les regard sur de superbe jambes; S'arrêtant au dessus de ses genoux. Un short de toge avec un petit bout en biais, volant au vent pur révéler la partie de ses jambes non cachée. Une plus longue attachée derrière pourrait être assimilée à une cape bien belle mais démarrant à la taille. Les deux morceaux décrit formant un paré haut assez novateur. Le tout étant attaché par une petite ceinture noirâtre. Aux boucles en métal gris. Un haut semblant à un gilet de costume fait de toge, serré en bas par une ceinture et améliorer d'un nœud au col. Rattaché par de petit cordons noir, deux manches blanches de toge parte comme de longues mitaines jusqu'au poignets. Un petit bout de tissus autour du coup, avec un petit nœud noir montrant une certaine excentricité, cela lui faisant deux nœud. Pour finir, un énorme nœud de même matière que le reste noue ses cheveux. Ne laissant tomber qu'un nombre contrôler de mèches sur son visage et sur le coter et l'arrière de son crane.

    Peu importé les connaissances du Shinobi, depuis son passage en tant que Tsuchikage, aucun traitre n'avais pus vivre plus de deux heurs loin d'Iwa. Aucune information n'était sortie et la Tsuchikage n'avais donné aucune nouvelle aux autres village,s puisque Iwa était en froid avec, elle c'était concentrée sur la reconstruction du village, s'assurent de son anonymat à l'extérieur. C'était en fait ça première sortie, et personne n'aurai pus ce douter qu'elle fus une ninja du rang de Kage. Seule le bandeau d'Iwa noué à mi cuisse indiquer son appartenance à un village.
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    MessageSujet: Re: Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ]   Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ] I_icon_minitimeVen 14 Aoû - 20:48

    Vers ces heures la, le soleil se couchait, laissant place à un festival de lumière magnifique en tout genre parcourant le ciel de fond en comble tels un oiseau chassant.
    Le soleil laissant place à la nuit, la châleur laissant place à la froideur, la lumière vive à la sobriété, le bruit au calme, finalement, la vie à la mort. Sous ces airs la, la lumière dans le ciel montrait un faux côté du monde, ce dernier etant, particulièrement ces derniers temps, un monde de meurtres etc… De par le fait de la mort de l’ancien Mizukage laissant place à Kanda, un des meilleurs ninjas que Kiri n’est jamais connu, de l’autre à cause d’une nouvelles terriblement desastreuse.
    Un village, des plus banals, qui fournissaient quand même beaucoup de nourritures, tissus etc… A certains pays et villages, à selon les dires etaient detruits.
    Venant de plus au sud, les fruits et autres etaient de très grandes qualités et les habitants de Kiri, d’abord etant surpris de ne pas avoir eu leur quantité hebdomadaire, Kanda envoya d’abord une lettre qui ne fut bien sur sans reponse mais rien ne lui porterait à croire une telle monstruosité.
    Puis vint le première indice ou suposition, un survivant, aurait parlé d’un chien, plus particulièrement un chien à cinq queues.
    La legende de cet animal revint alors à la mémoire de Kanda qui se souvint alors que son père, grand ninja qui était lui-même l’ancien Kage, rêvait d’enfermer en lui, une chose qu’on appeler bijuu.
    De grand animaux, ressemblant à ces derniers ou pas, ayant un énorme pouvoir, certains contrôleraient le feu, d’autres l’electricité, et d’autres comme celui que Kanda pensait, les cinqs elements.
    Son nom etaient Gobi, vieux de plusieurs milliers d’années, ce chien ou Bijuu ne fut jamais vraiment trouvé ni enfermer, plusieurs récits raconte les combats des humains contre ce monstre qui seviraient dans les villages les plus eloignés, d’autres recits, raconteraient que cette animal fut un jour dressé, un homme dont le nom est inconnu, reussit à l’apprivoisé et à en faire son camarade, de plusieurs mètres de haut, l’animal le defendait bien. L’homme dût s’eloigner de la civilisation et devenir un ermite pour proteger son animal, son ami…

    Mais un jour, malheureusement il fût retrouvé, pris d’assaut par une bande de mercenaires, de nuke nin ou d’autres infâmes, Gobi utilisa toutes sa force pour proteger son ami qui lui était devenu dans le temps très vieux, mais plus le combat duré, plus Gobi se fatiguait il finit par s’arrêter, toujours devant son ami. Mais quand un ninja lança un jutsu l’immobilisa quelques secondes, un kunaï partit vers la vieil homme, l’arme s’enfonça dans le cou de l’homme, le sang coulait à flot, l’homme était assis contre un arbre, les mains sur le cou.
    L’animal vit alors ça et une force incroyable se dechaîna, ses cinqs queues commencèrent à tourner très rapidement faisant un bouquet de pouvoirs combinant les cinqs elements, les mercenaires s’envolèrent un par un, brulés, ecrasés par la roche, electrifié ou autres, ils moururent tous, ainsi que le vieil homme. Depuis ce jour, on n’aurait plus revut Gobi.

    Kanda fut de plus en plus interessé par cet histoire, cherchant complètement à l’enfermer en lui, finissant la dernière volonté de son père. Dès qu’une rumeur partit que le village fut detruit par cet animal, Kanda y partit directement. Prenant avec lui trois Anbus, ils marchèrent pendant de longues heures, le soleil se couchait de plus en plus, effaçant la lumière du monde en quelques secondes. Le silence prit alors part au bruits des oiseaux chantant et autres.
    Fumant sa cigarette, Kanda suivait ses Anbus, personne ne dit un mot pendant plus de 3 heures.
    Au bout de celles-ci les ninjas se trouvèrent au village, en face se trouvaient une epaisse masse de fumée montant de plus en plus vers le ciel, l’attaque ne s’était pas passé longtemps avant qu’il arriva, seulement une dizaine d’heures peut être.
    Ils entrèrent alors dans le village, les braises encore chaudes, l’odeur de la brûlure se faisait sentir à quelques kilomètres du villages. Des maisons complètement devastées se dressèrent au yeux de Kanda qui mit son bandeau sur sa bouche, laissant entrevoir seulement ses yeux vert d’une profondeur absolue, portant une cicatrice à l’œil celle-ci se voyait d’autant plus quand il faisait nuit pour une raison inexpliquée.


    Attention !

    Dit alors l’un des Anbus mettant sa main sur le torse du Mizukage. Ce dernier mit sa main sur son katana qui était attaché sur sa ceinture à gauche dans un manche magnifique en cuir. La lâme devint alors bleue tellement le chakra se trouvant dans le Kanda etaient puissant.
    Ce dernier continua quand même à marcher fermant ses yeux.


    Maître Kanda, des gens sont ici…

    Dit le même ninjas en sortant son katana. Kanda enleva le bandeau de sa bouche, sortit une cigarette de sa poche, la mit dans la bouche avant de l’allumer et de continuer vers une petite place.

    Saïka et vous ?

    Un souffle de vent parcoura alors les cheveux en piques de Kanda et son bandeau qui le fit flotté dans les airs, une jeune fille dit alors ses mots à un autre homme qui semblait ne rien ecouter, ces deux personnes se retournèrent alors à l’ecoute de l’arrivée de Kanda et ses hommes.
    Yu, mais appellez moi Kanda.
    Dit il alors en recrachant la fumée de sa clope, il hocha la tête alors vers l’inconnu à la capuche avant de regarder la fille.


    Hum… Iwa… Je vois bien le genre, vous faîtes quoi la ? Un petit golf ?

    Dit Kanda en rigolant avant de se taire, il recracha encore un peu de fumée avant de reprendre une énorme bouffée, le vent soufflait de plus en plus fort laissant les nombreux ninjas maintenant se regardant sans bouger, Kanda regarder ses ennemis ou aliés fixement attendant que l’un d’entres eux faisait un mouvement, la nuit s’emparant des yeux des gens laissait place à certains moment à de petites hallucinations, Yu était entouré par ses Anbus qui avaient déjà sortit leurs armes.
    La capuche de l’homme laissait penser que c’était un deserteurs, aucun bandeau ne lui était attaché et la façon dont laquelle il se tenait laisser penser au pire, l’autre ninja, une jeune fille accompagnée de ses Anbus avait de longs cheveux lui tombant sur les cheveux, on pouvait apercevoir si on regardait bien que ses yeux etaient toujours fermés, aveugle, ces comme ça qu’on les appellait, mais on pouvait apercevoir si on regardait bien que ses yeux etaient toujours fermés, aveugle, ces comme ça qu’on les appellait, mais Kanda n’y pensa point, lui faisant penser à sa mère qui l’était aussi.


    Vous pensez que c’est eux qui ont fait ça maître Kanda ?

    Hum… Je ne l’espère pas pour moi, mais vu les degâts je ne pense pas, ça pourrait bel et bien être la force cet animal… Qui sera mien bientôt…

    Kanda regarda alors les personnes devant lui tout en fumant les dernières bouffée de sa cigarette. Il la jeta alors à terre en l’ecrasant.
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    MessageSujet: Re: Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ]   Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ] I_icon_minitimeSam 15 Aoû - 4:41

    Volages, futiles, aussi incertaines et infidèles qu’une péripatéticienne en pleine besogne, elles disparaissaient au moindre contact, pour revenir alors qu’on les croyait mortes, se concrétisant alors qu’on ne leur avait accordé aucune crédibilité, s’étendant, grandissant, gagnant en puissance … Marquant les mémoires même après qu’on les ait démenties. Les rumeurs, le véritable fléau de l’espèce humaine. L’incapacité de l’être intelligent à tenir sa langue, la démonstration même du manque d’honnêteté de l’homme, de la femme, de l’enfant, du vieillard, attirés par le drame, fiers de l’intérêt qu’on leur porte lorsqu’ils dévoilent, sans la moindre honte, le plus infondé des mensonge. Mensonge qui, aussi rapidement qu’un virus, se répand et s’aggrave, passe du rang de simple histoire à raconter au coin d’un feu à celui de récit d’un événement arrivé dans un endroit très, très lointain, au cousin du frère de l’ami de l’amant de ma tante. Jusqu’à parvenir aux oreilles d’individus que le conteur de cette rumeur aurait préféré garder loin de cette affaire.

    « - J’te le jure! Un d’mes amis le tiens du frère de son vieux, qui était présent quand ça c’est passé! Ils étaient trois et ils sont débarqués dans le village en plein jour! Ils ont rassemblé les hommes, ont fait le plein de provisions et sont partis avec deux femmes! Les pauvres marchands n’ont rien pu faire … Tu te rends compte?! Dire que, ça pourrait tout aussi bien nous arriver, à nous, ici …

    - Non, pas ici. Nous, on a des ninjas pour nous protéger d’eux, pas comme les petits villages côtiers que ces trois-là ont attaqués. Akatsuki ne pourrait pas débarquer ici et faire à sa guise, les équipes d’intervention s’en mêleraient, et ils repartiraient bredouilles, ou bien ils mourraient! Tu peux en être certain! »


    Un sourire évasif souleva la commissure de ses lèvres alors que, l’oreille attentive, la jeune femme écoutait les bavardages incessants de ses voisins de table. Son menton reposait dans le creux de sa main, et son coude soutenait tout le poids de sa tête. Son autre bras reposait négligemment, allongé, sur la table en bois, entourant son verre sans pour autant y toucher. Une extrémité d’une frêle tige de bambou creusée baignait dans la boisson – sans alcool – qu’elle avait commandé, tandis que l’autre était coincé entre ses dents. Son visage, incliné, était camouflé par l’ombre de ses cheveux, et ses habits civils lui permettaient de se fondre dans la masse des bonnes gens venus passer du bon temps sur la terrasse. Comme eux, Zuko profitait simplement du beau temps, et en profitait pour se régaler des dernières rumeurs. Celle qu’abordaient les deux hommes installés non loin l’intéressait particulièrement, puisqu’elle était directement concernée. Le hasard fait bien les choses…

    (Comme si leur équipe d’intervention me faisait peur … Akatsuki s’en fait un cure-dent, d’leur merde. Et ils ont la prétention de croire que leur village pourrait représenter un intérêt pour nous! Quelle… Quelle naïveté, s’en devient vexant, huh. Repartis avec des vivres et des femmes? L’humanité manque de plus en plus d’ingéniosité, ses rumeurs sont de plus en plus ridicules …)

    Elle mordilla un instant l’extrémité de sa paille improvisée, avant de la repousser de la langue, la laissant choir dans son verre. Inconfortable, elle se redressa un court instant, allongea le dos et replia les épaules, s’étirant sans grande retenue. Puis, elle regagna sa position initiale, menton dans la main, coude impoliment appuyé sur la table. Elle tendit l’autre bras vers l’avant et écarta les doigts, laissant le soleil miroiter sur la pierre azurée incrustée dans la bague d’argent qui cernait son doigt. Elle frémit, satisfaite, appréciant l’éclat de l’objet, ainsi que son intérêt, qu’elle seule – les autres membres d’Akatsuki mis à part – connaissait. Les voix des deux hommes continuaient de s’élever, et elle écoutait toujours, silencieuse, l’air perdue dans ses pensées. Cette rumeur était ridicule. Akatsuki n’enlevait pas des femmes pour aucunes raisons et n’attaquait pas les villages pour les piller. Il s’agissait là d’un comportement barbare, qui aurait diminué leur réputation, les aurait humiliés plutôt que de les grandir. Pourtant, même si elle ne pouvait qu’être fausse, cette rumeur représentait pour elle un intérêt, car il ne s’agissait pas de la première de la sorte qu’elle entendait. En fait, elle en avait tant entendu qu’elle ne pouvait tout simplement pas se voiler la fasse en s’imaginant qu’il s’agissait là du fruit d’une imagination collective.

    (Quelqu’un utilise la réputation de l’organisation à ses propres fins, en revêtant l’uniforme d’Akatsuki pour piller des villages sans protection. Ces rumeurs sont trop nombreuses et variées – mais semblables – pour qu’elles n’aient pas de fondement. J’aimerais bien voir la tête de ces copieurs, si jamais leur route devait croiser celle de leur source d’inspiration.)

    Obtenir la description de l’uniforme d’Akatsuki ne devait pas être particulièrement difficile : ils étaient recherchés dans tous les pays. Tout le monde – TOUT le monde – connaissait leur existence. Ces pâles imitations avaient su exploiter cela à leur avantage. De plus, ils ne s’en prenaient qu’à de petits villages côtiers, sans défense, qui ne pourraient pas leur résister. Ils ne devaient donc pas être très puissants. À côté d’elle, les deux hommes avaient changé de sujet. Désintéressée, elle tendit le cou et récupéra la branche de bambou qu’elle avait abandonné précédemment. Elle la serra légèrement entre des dents, avant d’y refermer ses lèvres et d’engloutir une gorgée de la boisson. Cette dernière, sous le soleil, était devenue chaude, aussi grimaça-t-elle, dégoûtée, avant de repousser vivement son verre et de se relever. Le serveur se précipita aussitôt vers elle, et Zuko le paya, avant de quitter la terrasse, sans se presser, le pas lent, un sourire ironique accroché au visage alors qu’elle se plaisait à imaginer la réaction des imitateurs lorsqu’ils croiseraient la route d’un véritable membre de l’organisation. Lorsqu’ils. Car une telle chose n’allait pas tarder à arriver. Agacée par le manque de considération de ces imbéciles heureux, ainsi que par leur inconscience, elle s’était finalement décidée à les retrouver. Oh, moins pour leur faire du mal que pour leur faire une belle frousse. Rien que d’imaginer leur expression épouvantée l’inspirant à éclater d’un rire sardonique, rire que les passants environnants n’apprécièrent guère. Certains lui lancèrent un regard effarouché, d’autres s’écartèrent tout simplement, choqués de voir une jeune femme rire ainsi pour absolument rien. À peine consciente de leur regard, elle continua sa route en se calmant, jusqu’à regagner le frêle logement qu’elle avait emprunté.

    ---


    Les rumeurs venaient de loin, et ses origines étaient imprécises. Aussi, Zuko commença ses recherches en se fiant aux noms des emplacements qui revenaient le plus souvent dans les différents récits. À mesure qu’elle progressait, l’information se précisait, jusqu’à se fixer définitivement. Zuko parvint même à déterminer le parcours des trois abuseurs, en rassemblant le nom des lieux et les dates de leurs différentes apparitions. Elle s’était alors permise d’esquisser une suite logique à leur chemin. Puis, elle avait quitté les grandes routes, et s’était décidée à prendre un raccourcit, en coupant par les terres habitées et les villages qui se dressaient entre elle et son objectif. Sa progressée allait bon train, et elle ne rencontra aucun problème majeur. Sa cape uniforme étant soigneusement rangée au fond de son sac de voyage, sa personne étant considérée comme morte depuis deux ans, elle ne craignait pas d’être reconnue comme étant une criminelle.
    Si elle ne craignait pas les vils pilleurs de voyageurs, elle ne cherchait pas non plus à provoquer les incidents – en fait, elle n’avait pas envie de se battre pour défendre ses biens – et, donc, se joignit à un groupe d’étrangers qui avaient approximativement la même destination qu’elle. Peu pressée, elle prenait son temps. Un peu plus et elle se serait cure en vacance, même … Ça lui plaisait. Du moins, jusqu’à ce qu’une autre rumeur vienne troubler sa progressée, dix jours après le commencement de son voyage. Gobi, l’un des neuf démons, aurait saccagé à lui seul presque l’entièreté du pays de la Mort – quel nom pathétique, sois dit en passant – pour une raison inconnue, avant de disparaître, laissant derrière lui ruines et désolation. La rumeur ne tarda pas à se confirmer … plus ou moins, disons. Mais la possibilité seule de croiser la route d’une icône de puissance inhumaine suffit à effrayer sa petite compagnie, qui revint sur ses pas. Zuko, plus sceptique, et anormalement curieuse, décida quant à elle de continuer sa route.

    Elle ne tarda pas à découvrir que la vérité avait honteusement été déformée, évidemment. Le pays de la Mort n’avait subit qu’une injure surmontable : la destruction de l’un de ses villages, et aux yeux de la jeune femme, rien n’indiquait que le Gobi était, hors de tout doute, le responsable de ce massacre. Un ninja suffisamment puissant et bestial aurait parfaitement pu éliminer un si petit village, aussi mal protégé. Elle-même, peut-être … Ses pas l’ayant conduits sur les lieux du carnage, Zuko explora passivement ce qui demeurait de l’endroit, enregistrant les détails les plus évidents, évitant de porter une trop grande attention aux quelques morts que rencontrait son chemin.
    L’ambiance était lugubre, et ce, malgré le soleil d’après-midi qui illuminait la scène. Plusieurs bâtiments s’étaient effondrés sur le flanc Nord du village ainsi qu’au centre de ce dernier, et certains, qui demeuraient debout, n’en avaient plus pour longtemps à se dresser ainsi. Quelques rares habitations avaient été épargnées et demeuraient presque intactes, mais leur silhouette ne faisait pour l’instant que se dessiner au loin, recouverte d’un nuage de poussière, vestige de la violence de la tragédie qui avait eu lieu plusieurs jours plus tôt. Prudente, l’ambiance la mettant mal à l’aise, Zuko avançait lentement, mesurant ses pas, vérifiant son entourage, les nerfs à vif. À mesure qu’elle progressait, il lui arrivait de croiser un cadavre, de découvrir un mort, et à chaque fois, elle se contentait de détourner pudiquement le regard, comme par respect. Le nombre de morts n’était, toutefois, pas très élevé. Les cadavres étaient beaucoup moins nombreux que ce qu’ils auraient dû être, indiquant à la guérisseuse que plusieurs bons vivants étaient parvenus à s’échapper à temps. Simple constatation. La découverte ne lui fit ni chaud ni froid : qu’ils soient morts ou non, elle n’aurait rien pu faire pour eux, de toutes façons.

    Malgré tout, elle fut prise de violentes nausées lorsque son regard se posa sur une femme éprouvée, encore vivante, tremblante, à bout de force, ayant perdu trop de sang. Incapable de parler, elle fixait le vide en remuant les lèvres en silence. Prise d’une pitié à laquelle elle ne s’était pas attendue, la jeune femme s’accroupit près de la survivante afin de cerner son état. Elle était affaiblie par la perte de sang, mais ses blessures s’étaient bien refermées d’elles-mêmes. Elles s’étaient infectées, toutefois. Consciente que si sa patiente reposait là depuis plusieurs jours, elle devait être en état de déshydratation avancée, Zuko la força à avaler de longues gorgées d’eau venue de sa gourde, qu’elle portait à la hanche. Dès que ses forces furent revenues, la femme se mit à gémir et tendit les mains devant elle en suppliant, sa voix rauque à cause de sa faiblesse, de son manque de sang.

    « Mon fils! Mon bébé! »

    Elle tendit les bras, et Zuko tourna la tête vers la direction indiquée par ses doigts. Plus loin des deux femmes, étendu sur le sol, un nouveau-né demeurait, immobile, son petit corps mort tordu, sa décomposition déjà enclenchée. Dégoûtée par cette vision, et consciente d’a quel point elle devait être pénible pour la jeune mère, Zuko entreprit de hisser cette dernière sur ses épaules et commença à s’éloigner. Mais les supplications de la femme devinrent des cris, et elle commença à se débattre, usant du peu de forces qui lui restaient encore pour tenter de rejoindre sa défunte progéniture. La désertrice tenta d’abord de lui faire entendre raison, puis, constatant que sa protégée semblait avoir perdu toute conscience de la réalité, finit par revenir sur ses pas et la déposa près du corps de son bébé. La femme le serra aussitôt dans ses bras, remerciant tout en pleurant à chaudes larmes. Le cœur serré, emplie de compassion pour la condamnée, Zuko s’éloigna rapidement, tentant d’oublier la scène dont elle venait d’être le témoin. Fort heureusement, elle n’eut pas le temps de s’éterniser sur le drame, car bientôt, sa route croisa celle d’un certain nombre d’étrangers. Curieuse de voir des gens ainsi rassemblés au cœur d’un tel chantier, elle demeura en retrait, discrète, observant les individus présents en silence. Il semblait y avoir trois groupes distincts, qu’elle observa tous séparément. Elle remarqua d’abord le groupe d’Iwa, déjà car il était le plus imposant, mais aussi car ce qui semblait être leur chef, contrairement aux autres, déteignait dans le décor. Une jeune femme – elle paraissait même plus jeune qu’elle – qui lui semblait plutôt niaise, faute de sa manière de s’adresser à Sadame. Pourtant, ceux qui l’accompagnaient semblaient lui porter un grand respect.

    Plus en retrait, un second groupe, moins important mais à l’aspect plus menaçant, semblait se tenir à carreau. De sa position, Zuko ne les voyait pas très bien, mais elle les entendait parler. Puis, finalement, Sadame, qui formait un groupe à lui tout seul. Il était caché sous une cape, aussi Zuko ne pouvait-elle pas déterminer s’il s’agissait d’un gars ou d’une fille. Détail sans grande importance, à vrai dire.
    Elle demeura en retrait un long moment, écoutant l’échange avec attention, jusqu’à ce que l’un de ceux du deuxième groupe se dévoile. Alors, elle s’avança à son tour, avec dans la tête l’idée que l’un de ces groupes pouvait bien être celui qui avait ravage ce village. L’image de la jeune mère agonisant seule lui revint en tête, et elle se promit que, si tel étais le cas, elle s’arrangerait pour que le fautif paie. Mais en attendant …

    « Hmm, une salade de cultures! Je peux m’y joindre?»

    Sa voix était emplie d’ironie, et son ton, narquois, arrogant. Le dos droit et la tête haute, elle parcourut le rassemblement du regard, adressant, à tous et chacun, un regard lourd de mépris.


    Dernière édition par Zuko Teikiatsu le Dim 16 Aoû - 3:29, édité 1 fois
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    MessageSujet: Re: Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ]   Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ] I_icon_minitimeSam 15 Aoû - 11:57

    L'endroit avait servit de cimetière, de lieu de désolation, de souffrance et d'horreur. Les corps, sans vie commençaient à se décomposer laissant une odeur nauséabonde parcourir l'ancien village à présent détruit. Il ne faudrait que peu de temps avant que l'air soit irrespirable. Les maisons en ruines avaient engloutit plus d'un villageois sous ses décombres pour l'emporter dans une valse mortuaire. L'invocateur avait beau voir tout cela, il ne détournait le regard, il ne s'y attardait pas non plus. Un œil vif et attentif observant les quelques rares indices pouvant être explicatif de ce carnage. En y regardant de plus près, les corps ne comportait pratiquement aucune blessure par une quelconque arme blanche, les principales raisons de leur mort avait été due à l'éboulement de leur bâtisses, à des coups puissants les ayant alors propulser sur plusieurs mètres, percutant alors un mur causant la mort. C'était une hypothèse comme une autre. Mais à première vue, la seule certitude qu'Eiyo avait, était que ce village n'avait pas été attaqué par de simple brigand ou voleur, l'idée d'une origine shinobi était plus ou moins possible. En général, certains shinobi ne pouvait se passer de kunai ou de shurikens, trancher des gorges, viser le crâne, tout ceci était le moyen d'amusement des plus faibles ninjas. Enfin, ceux capables d'attaquer un tel village sans raison apparente. Pour poursuivre l'analyse, il n'y avait que quelques traces de flammes, aucune de retournement de terrain ou d'attaque de doton, aucune humidité ne se faisait sentir et seul les quelques bourrasques de vent naturelles s'agitaient sur ce champ de ruine. L'idée d'utilisateur de doton ou de suiton était impossible, il était peu facile de déterminé avec certitude la présence d'un utilisateur de raiton ou de fuuton. Quant au katon, il n'y avait que quelques traces, même un ninja de haut rang aurait du laisser des traces pour détruire les maisons à coup de flammes. Restait l'hypothèse d'un ninja utilisant le taijutsu, mais ceci n'expliquerait pas les blessures béantes et saignantes.

    Définir ce qu'il s'était passé devenait alors compliqué, il était certain qu'il ne réussirait pas à trouver précisément l'origine par de simple analyse. Mais même si dans un premier temps, le doute n'avait pas été formé et que le responsable ne pouvait être personne d'autre que Gobi, chien légendaire aux nombreux pouvoirs, bien plus qu'on ne pourrait l'imaginer, l'idée d'avoir devant soit l'œuvre de Gobi semblait être de plus en plus écartée. Un mystère parmi tant d'autre. Peut-être était-ce bien Gobi, ce qui expliquerait les lésions sur les cadavres, les démolitions des maisons, les diverses cicatrices dues à des attaques élémentaires se rapprochant du feu. Mais ceci n'expliquait pas pourquoi il restait un demi village. Et la question la plus importante était de savoir pourquoi il aurait attaqué ce village. Des doutes, des suppositions, des hypothèses, des horreurs pour le Nuke-nin. Il n'aimait pas rester dans le vague, partir à base d'hypothèse et de rester dans le doute. La meilleure chose aurait été d'avoir un témoin et de lui demander ce qu'il avait vu, mais, aucun survivant ne semblait être présent. Il ne restait plus que cet état, ces cadavres et ces bâtiments détruits dans une odeur répugnante de sang mêlé à la décomposition des cadavres soulevés par quelques brises fraiches.

    Mais là ne s'arrêtait pas cette scène macabre. Alors même que l'invocateur avait invoqué deux aigles pour une mission de reconnaissance dans les alentours et une tortue chargée de sa protection, le nuke-nin ne tarda pas à avoir de la visite. Ce fut une première personne accompagné de quelques gardes sans importance, énergique et semblant être d'une nature sociale, ou plutôt bavarde, il n'était pas dur de deviné qu'elle était jeune. Une voix de jeune fille sortant probablement de sa puberté. Elle s'était présenté sous le nom de Saïka et avait demandé son nom. Étrange discussion que voila, aurait-elle penser qu'une rencontre parmi les morts se feraient aussi facilement ? Peut-être était-elle encore naïve ou juste insouciante de l'environnement. Détournant alors un moment le regard, Eiyo put voir une jeune femme, un petit bout-chou diraient certain. Que faisait-elle là ? Elle n'était ni une habitante ni une survivante, ce qui s'offrait à elle n'avait pas l'air de l'impressionner ou de la peiner. Elle devait être donc d'une nature agressive et solide tout en étant extérieur à ce village. Alors pourquoi était-elle venue ? La question se posait. Laissant un court soupir s'échapper, un soupir donnant plus sur le mépris que sur la lassitude, Eiyo reporta son regard sur un cadavre gisant sur le sol, devant lui. Il n'avait aucune intention de répondre, après tout, pourquoi lui répondre ? Par marque de politesse ? Qu'importe la politesse quand le monde vous a tourné le dos.

    Certains diraient que la chance lui souriait et qu'il avait à présent une bonne réponse de ne pas avoir répondu. En effet, ce fut quelques secondes plus tard qu'un nouveau groupe arriva. Composé de quatre hommes dont trois anbu et un ninja lui masquant le bas du visage, ce groupe semblait bien plus agité et agressif que la kunoichi se présentant sous le nom de Saika. Que voulaient-ils ? La question se posait également. Tandis que l'un des anbus s'agitaient pour retenir ce qui semblait être son supérieur, ce dernier montra à quel point l'Homme pouvait être stupide. Ne relevant alors pas ce que cet homme venait de dire, le nuke-nin commença à entamer une marche lente pour les laisser entre eux. La stupidité de l'Homme ne l'intéressait guère et la discussion avec ces nouveaux arrivants ne lui apporteraient rien. Il ne fallait pas réfléchir longtemps pour savoir que ces cinq arrivants, de deux groupes différents n'avaient rien en commun et n'étaient pas là en ayant des renseignements sur ce qu'ils s'étaient passés. De plus, Eiyo n'avait aucune envie de combattre contre une poignée de ninja sans expérience croyant pouvoir faire de l'ironie alors que le lieu ne le permettait pas. Il laisserait ces nouveaux arrivants entre eux et continuerait ses recherches, après tout, si l'hypothèse mêlant Gobi à cette affaire était fondé, alors il ne devait pas être loin, sauf s'il arrivait déjà trop tard.

    Ce fut finalement quelques mots qui retinrent le nuke-nin. Alors qu'un deuxième anbus venant du second groupe avait demandé si c'était les deux premiers ninjas les responsables de ce drame, son supérieur, probablement le chef de l'anbu ou tout simplement le Kage, leur répondit que non. Lui pensait qu'il s'agissait d'un animal, le sien ? Nul doute que la raison de sa venue semblait être pour capturer le responsable. Ainsi, il était certain de l'auteur de ce méfait ? Pathétique, sa prétention n'avait pas l'air de le déranger. Comment pouvait-il penser avoir autant de facilité à attraper l'auteur de ce village détruit ? Ce qui aurait été le plus hilarant pour Eiyo si celui-ci y prêtait vraiment intention, était les réactions de ces prétendant au titre d'anbu. En les entendant, il n'avait qu'une impression : voir de brave toutou demandant conseils à leur maitre. Tout aussi pathétique, peut-être était-ce le cas finalement, ne disait-on pas, "tel maitre, tel chien" ? C'était si méprisable ...

    Mais voila que la situation ne s'arrangea pas, loin de voir ces ninjas partirent chacun de leur côté et de poursuivre leur vie dans un chemin totalement différent pour éviter ce pathétisme déplorable, ce fut tout le contraire. Une énième personne arriva finalement, seule et démontrant une certaine assurance. À peine était-elle arrivé qu'elle entama son ironie et son narcissisme. Une salade de culture ? Le crétinisme humain n'avait donc plus de limite ? Tout cela étant pathétique, déplorant et humiliant pour la race humaine. Comment pouvait-on supporter une telle chose ? C'était si pathétique ... N'avaient-ils donc aucune fierté ? Aucun sentiment d'humanité, de responsabilité, d'intelligence ? Peut-être étaient-ils là pour un concours de pathétisme aigu. Peut-être voulaient-ils comparé leur débilité profonde et savoir qui était le plus attardé. Il ne fallait pas compter sur le nuke-nin pour y participer. La seule chose qui l'intéressait à présent était de savoir si cette petite assemblée d'humains sans intérêt avait des informations sur Gobi. Formant alors une liaison télépathique avec ces aigles, il leur demanda s'ils avaient du nouveau, la réponse fut directe et négative. Eiyo n'avait peut-être plus le choix. Se tournant vers le groupe composé de trois anbus et d'un Kage, il leur demanda d'une voix calme mais légèrement froide :


    Cet animal dont vous parlez, qui est-ce ? Gobi ? Dites moi ce que vous savez sur lui.

    En disant ceci, il avait montré l'oubli définitif de la réponse à la question de Saika. Après tout pourquoi lui donner son nom, cela ne l'avancerait à rien. Peut-être connaissait-elle son nom et n'aurait qu'une envie : le combattre pour ramener sa tête, autant écarter l'idée, combattre contre elle ne lui apporterait rien. Ignorant également la dernière arrivante, Eiyo s'était directement adressé à cet homme fumant une simple cigarette croyant que cela lui donnerait une quelconque style. Eiyo s'attendait bien sur à une réponse, dans le cas contraire, il le lui prendrait une fois mort ...




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    Saïka Kaguya
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    MessageSujet: Re: Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ]   Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ] I_icon_minitimeSam 15 Aoû - 13:27

    Le vent souffla, le vent... Oui, elle venais de ce prendre un vent.. Glacial, étreignant, dur.. Elle n'avais pas l'habitude, mais elle ne su pourquoi ce vent morbide la vexa véritablement, ou non. Ce n'était pas vraiment être vexer, mais vraiment attaquer en plein cœur. Elle, elle vain, Souriante à souhait, aimable, ouverte ! Ce n'étais pas si fréquent de sa part. Un grognement rageur raisonna dans son crane, un grognement digne des pires prédateurs. Un grognement annonciateur de bien mauvaises choses pour Saïka, si tous cela continuer ainsi. Mais elle fut stoppée, stoppée dans ses rageries internes due à ce vent. Un bras maintenant en branle dans le vide, à peine retenus par son épaule. L'autre toujours replié dans son dos; Sur ses omoplates.

    Un ninja venais de parler, et Saïka repéra aussitôt sa direction, ses pupilles volèrent dans les extrémité gauche des orbites; Ils étaient là bas... ILS; Car ils étaient plusieurs. Mais ses paupières fermée n'indiquaient pas au ninja en face d'elle qu'elle avais repérée des intrus. Enfin non, elle n'avais rien repérer, mais la bête en elle l'avais fait et comme si cela était naturelle, ses informations c'était mêlée à celles de Saïka comme-ci Saïka elle même le savait repérer. Toute fois, elle garder son attention sur le capé. Il ne parler pas, et peut-être était il une représentation « minable » du dieu passeur: Gobi. Venus chercher les âme bloquer dans ce monde... Un de ses sourcils ce leva en signe d'interrogation interne. -Pourquoi ? Et pourquoi pas ? Ses yeux était maintenant ouvert, mais elle ne voyais pas vraiment. En fait, malgré leur rouge écarlate profond, le fait était que Saïka n'avais pas son cerveau de relié à ceux-ci, lorsqu'elle avais décidée d'utiliser ses échos uniquement. Ce pourquoi aussi, ses yeux ne furent pas gêner par le soleil encore présent dans le lointain- Ses yeux reflétait tour à tour chacun de ses ressentit; Et celui de la taillerie vins vite laissé place à l'interrogation. Non... Gobi ne pouvais avoir une forme aussi pathétique. Son sourire qui avais donc disparus suite à la compréhension du vent... Venais de reparaitre, mais il étais plus subtil, plus mesquin.

    Ce fut à cet instant précis que sa garde rapprochée revins des environs:
    Les ninjas qui accompagné Saïka était de sa garde spéciale, mais aussi des ninjas très connus pour leur titre des cinq maitre en Taïjutsu d'Iwa. Le pays reconnus notamment pour ses quatre maitres en la matière, la rumeur disait qu'il y avais eu récement quelqu'un qui les aurais battus; Formant ainsi le groupe des cinq maitres en Taïjutsu d'Iwa. Un fan en la matière aurait donc de suite supposé sur l'identité de Saïka, après avoir détailler et reconnus les quatre autres qui l'encadrait.

    あらい りょく – Arai no Ryoku – Force Brutal; L'un d'eux était gigantesque et plus imposant que tout. Le symbole de l'homme de main parfait. Sa musculature indiquer une force physique hors normes, c'était très clair ! Alors que son crane, tous en longueur, sa mâchoire carrée et ses yeux assez vides indiquer un manque clair d'intelligence. Tous cela était appuyé par une coiffure de type punk. Son dégarnissement était précoce -Car il n'avais que presque trente ans-, et partais de tous autour a l'inverse de la plupart des gens... Il semblait donc avoir une crête teinte alors que ses cheveux était naturellement orange. Cet homme était donc le premier pillier de la garde de Saïka, le plus impressionnant, le plus puissant et l'un des six maitres du Taïjutsu d'Iwa. Un ninja légendaire mais ne dépassant clairement pas le niveau d'un oi-nin, ce qui étais déjà pas mal. Toute fois, ca faiblesse était clairement indiquée dans son physique: Un manque de souplesse et de vitesse évidents !

    はやまる りょく – Hayamaru no Ryoku – Force Vive; Le second pilier de la garde de Saïka était un autre géant, de deux mètres trente environs... Bien battis mais pas fait pour la puissance. Ses cheveux gris indiquait un age avancé, ses rides appuyé clairement cette pensée ! De plus, ses yeux bridés indiquer ou laisser supposé une légère carence visuel. L'ancien plus grand expert en Taïjutsu d'Iwa; il était à son époque le plus rapide de tous les pratiquants du Taïjutsu. Il serais détrôner par une jeune star montante, un certain Gai Maito lors d'un tournoi. Cela n'empêcha pas qu'il garder son expérience, sa force et une vitesse hors normes face à beaucoup. Et son age lui avais permit de développer des ninjutsu assez conséquents, en plus de sa spécialité en Taïjutsu.

    せんりゃく りょく – Sen'Ryaku no Ryoku – Force Stratégique; Encadrant de plus prêt Saïka, il y en avais deux autres. L'un d'eux était de la même taille que Saïka, donc pour un homme, pas très grand. Il détenait une longue crinière de feu et était pour le moins, bronzé. Oui, ca peaux était presque noir ! Ses yeux jaunes luisait d'une manière des plus inquiétantes. Ce jeune garçon était le plus jeune de la garde, âgé de vingt deux ans, il était l'actuel second expert en Taïjutsu d'Iwa, juste derrière Saïka. Un expert moins méritant que les deux précédemment décrit puisqu'il utilisé ses Taïjutsu assez moyen, et les rendait efficaces grâce à sa spécialisation dans le Doton, Doton qu'il maitrisé par un simple contact avec la terre utilisée: ce pourquoi il était pied nus. Suffisais d'un seul mouvement du bras pour invoquer la terre pour ce ninja, certainement le plus connus d'Iwa dans son domaine.

    りょうよう りょく – Ryouryou no Ryoku – Force de Traitement Médical; Enfin le dernier, était lui aussi assez petit, à peine plus grand que l'autre. Âgé d'une trentaine d'année, il étais de loin le médecin le plus réputé d'Iwa. Une réputation assez injustifiée ! Car il n'était que le cinquième médecin d'Iwa. Mais le plus performant en techniques de corps à corps; La plupart de ses jutsu, développer par lui, était des jutsu offensif de corps à corps, certains n'ayant a voir avec la médecine que de très loin. En réalité, il était plus bon décapiteur, Autopcieur, ou autre. Physiquement celui-ci était assez banal, des cheveux court, mais bien coupé. De couleur marron; et des yeux noisettes assez ravissant. Il étais le seul ninja homme d'un clan de femme vivant à Iwa, forcément. Il était aussi le seul à ne pas être particulièrement musclé avec Saïka.

    Leur tenue était assez simple, un haut et un bas serré de couleur blanc. Et des plaque de fer fixée sur le torse et le dos. Ainsi que sur les cuisses. Trois d'entre eux porter des tongue de bois surélevée pour le médecin du groupe. Ce détail faisant qu'en fait sans, il devais être aussi grand que le stratège et Saïka. Mais bref, passons ce détail. Ca garde était revenue. Les deux géant servant de pilier aux extrême de la formation, les deux plus petits chacun aux côtés de Saïka. Plaçant une main devant l'oreille de la kage pour bloquer le son au ninja en face de la kage, Sen'Ryaku marmonna quelques mots que seul une oreille surentrainée airait pus entendre, de prêt...: « Nous avons trouver des traces; Saïka cha... Sama. » !

    A nouveau, Saïka replace quelques mèches de cheveux d'un revers de main, elle resta assez stoïque, mais encore une fois, ses yeux reflétèrent ses sentiments qu'elle ne parvenais à cacher: Elle étais excitée par cette nouvelle ! Enfin elle touchai au but ! Oui ! Enfin elle verrai dieu...

    « -Celles de ninjas. »

    La déception fut énorme, ce ne fut plus l'un de ses ras, mais les deux qui était en brante, clairement écœurée. Elle le savait; Qu'il y avais des ninjas. Elle voulais Höko ! HÖKO ! Elle allais certainement soupirer... Lorsque le petit groupe précédemment repérer arriva enfin; Saïka ne daigna même pas ce tourner vers eux. La fumée acre de cigarette envahissant déjà ses narines tout en évoquant en elle une forte répulsion. Heureusement le vent tourna vite et et fit regagner du terrain à son parfum. Saïka fronça les sourcils, mais elle n'indiqua pas l'intérêt dus au groupe. Seul ses shinobis tournèrent le regard vers eux...

    La question du chef du petit groupe n'intéressa guère Saïka, une tel désobligeance ne méritait pas de réponse. Certes, il ne devais pas savoir qu'elle étais kage, ni ce doutais de son rang d'experte suprême en taïjutsu d'Iwa; mais... Le simple fait qu'il aurait oser parler ainsi à ses ninjas l'écœuras encore un peu plus. Ce, minable, dont elle ne connaissait pas l'appartenance à Kiri. Bien sur, si elle avais tourner son regard vers lui, ses échos aurait vus la forme dans le bandeau, mais bon, cela était inutile.

    Enfin le ninja qu'elle avais repérer en premier parla de nouveau. Puis l'autre répondit. Son subordonné ne devais pas être bien malin pour avoir besoin de l'avis de son chef pour une question si futile. Un seul d'entre eux ce doutait il que Saïka avais l'information cherchée ? Elle soupiras enfin, ce soupire précédemment réprimer et tomber un petit instant dans l'oubli fut plein de lassitude. Alors elle ce retourna vers le groupe, ce détournant du capé qui était en train de partir. Le seul de ses ninjas pouvant gêner sa vue par un pas trop en avant, eu un pas de recul.

    Le regard maintenant chargé de méprit, cet insolent souhaité il donc enfermer Höko dans son corps de minable ? Une prison charnel pour un dieu, surtout aussi ridicule ne faisait qu'ajouter à la colère de Saîka.

    « -Vous pouvez rentrez, je vous rejoindrez... »

    Tous acquiescèrent; Il était évident -Pour eux- que leur Kage n'avais pas besoin d'eux -Et qu'elle souhaité combattre l'hérétique...-, si elle le disait... Toute fois, tous partirent à contre cœur... Elle étais jeune, cette Tsuchikage, il aurait étais bête qu'il ne lui arrive quelque chose, cela aurais sans nul doute replonger Iwa dans l'ombre mais... Ils lui obéissait. Plus que la servitude de simples subordonnés, ils étaient des amis, et bien conscient qu'en cas de combat, elle aurait trop de regard d'inquiétude vers eux, pour combattre aisément.

    Une petite grimace ce dessina sur les levres de Saïka, des cris troublèrent son attention, par delà le crépissement des flammes, le grouillement des insectes sur les chaire en début de décomposition, et tous ses autres petit son imperceptibles pour les autres, elle reconnue clairement une vois humaine qui crier quelque chose qui, dans un contexte particulier, devais avoir un sens... Un sens que Saïka imaginas sans mal et cela aurait presque pus lui arracher une larme si dans sa vie elle n'avais tuée autant d'enfant, de nouveau né, devant des mères en pleurs. Une chose qu'elle regrettait mais n'arrivais pas à pleurer.

    Des actes forcé, forcé par son sensei d'infortune, Zodd'sensei, l'auteur des malheur de Saïka et de ce qui ressembler à une double personnalité, une frénésie sanguinaire, dont Saïka était tout à fait consciente. Sa partie démoniaque qu'elle tenter de combattre vivement, une partie qui, bien qu'elle n'avais aucune raison de ressortir pour l'instant, commençait pourtant à faire battre un peu plus vite que de normal les tempes de Saïka, d'autant que la remarque du ninja chef d'un groupe, l'avais quelque peu agacée, et cette zone sombre d'elle même en profitais pour tenter, progressivement, de refaire surface, prendre Possession de Saïka, si tel en était le cas; Elle serai certainement plus joyeuse du spectacle macabre qui l'entourait.

    Cette passade de mauvais souvenir passa rapidement. En réalité elle ce stoppa lorsqu'en toute ironie, la nouvelle venue parla. Des paroles aussi chargée d'un mépris évident, que Saïka capta bien évidement. Tous ceci commençait à l'exaspérer profondément, tant de mépris et de haine en un si petit groupe. Ses échos étaient toujours en envois constant lorsque Saïka -Re connecta- ses yeux; Qui luirent alors d'une lumière nouvelle, devenant encore plus intense en expression et sentiments. Elle croisa alors lentement les bras, les reprenant de leur hérance incertaine. Oui, sur son flanc, c'était bien monsieur sous cape qui revenais. Avait il seulement idée que celle qu'il venais d'ignorer, et à qui il venais d'envoyer un « vent no jutsu » étais celle qui détenais sous preuve, réponse à ses questions. Mais là n'étais plus l'attention de Saïka, elle remarqua alors le bandeau de Kiri, un village plus ou moins allié lors de la grande guerre écrite dans les histoires anciennes du village d'Iwa. Mais pas un véritable allié. Et en face d'elle ce trouvai le légèrement connus, Mizukage de Kiri.

    « -Crois tu vraiment que tu parviendra à sceller un dieu ? Mizukage de pacotille... » Ses pupilles tournèrent dans ses yeux pour ce caler dans leur extrémité, regardant vers la femme récemment arrivée, elle ce força à sourire légèrement « -Jolie note d'humour... Sincèrement... » L'ironie et le mépris ce lisait autant dans sa vois que dans ses yeux et était aussi prononcé que lorsque cette kunoichi inconnue avais parler.
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    MessageSujet: Re: Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ]   Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ] I_icon_minitimeMer 19 Aoû - 10:50

    Sous cette brume epaisse, bien que s’eclaircissant au fur et à mesure des minutes qui passaient très lentement, le nombre plutôt grand de personnage ne cessait de baiser. La tension elle, montait de plus en plus, Kanda regardait les personnes en face de lui très serieusement tout en prenant plusieurs bouffés de sa cigarette qui commençait à se finir à nouveau.
    Il regarda alors l’homme à la capuche qui, après de longues minutes d’attente ouvrit sa bouche, une lourde voix epaisse, demoniaque en sortit. Mais bizarrement personne ne repondait à sa question, demandant ce que les ninjas savaient sur le demons Gobi, Kanda le regarda droit dans les yeux et rigola.


    Et bien, on parle bien de Gobi tu as tout compris mon frère…

    Dit Kanda avant de s’ettirer un peu les bras attendant qu’il se passe quelque chose, la temperature commençait à remonter et les oiseaux revinrent par dizaines à cette endroit qui pourtant était toujours saccagé et detruit. Les minutes passèrent et plus aucune parole ne fut dîtes, jusqu'à ce que Yu, affirma qu’il voulait enfermer Gobi dans son corps. A ce moment la, tout les ninjas bougèrent, surpris de l’annonce, ou enervé, les deux reponse demeurait dans la tête de chacun, qui regardèrent alors tous Kanda, ce dernier montra alors un petit sourire au coin de ses lèvres avant de replacer son foulard dans son dos, sortant une nouvelle cigarette, il l’alluma et souffla la fumée en direction de ses adversaires, certains toussèrent tandis que d’autres ne bougèrent point.
    Puis vint une supposition ou plutôt une affirmation de la part de la ninja de Iwa, cette dernière etant en faite Kage, jouait bien son jeu, puisque pour l’instant Kanda ne l’avait ni remarquer ni même penser, il avait tout de même un leger doute pour sa presence en ce lieu.


    Crois tu vraiment que tu parviendrais à sceller un dieu ? Mizukage de pacotille...

    Ajouta t’elle avant de se taire, la jeune filette, Tsuchikage, se croyait surement tout les droits. Kanda n’apprécie alors aucunement, mais une certaine touche d’ironie qu’il aimait sortit de sa bouche.

    C’est sur que toi tu ne le verrais pas donc bon…

    Kanda rigola, mais s’aperçut vite que sa blague était mauvaise, pathétique, pitoyable tout simplement nul. Mais pourtant, il eut se qu’il voulait, les tensions, ces dernières montaient de plus en plus envers chaque personne present, les Anbus de chacun s’approchant un peu plus très legèrement. Kanda lui s’enervait aussi quelques peu, il touchait son katana de plus en plus fermement, cherchant l’attaque, cette dernière n’allait pas tarder.
    Kanda regarda attentivement la fille d’Iwa, il ne vit rien de mauvais en elle, ce n’était pas une vraie ennemis à ses yeux, mais les deux autres personnages, largement plus sinistre, semblait en être.
    L’homme capuché d’abord, ce dernier, très mysterieux, ne semblait avoir aucune peur d’aucun d’entres eux. Il ne bougeait, ne savant pas s’il regardait les gens ou pas, c’était celui que Kanda chercha alors à eviter, puis vint l’autre femme. Yu reconnut directement le signe inscrit sur sa longue veste, les petits nuages rouges, representant l’organisation la plus recherchée au monde. L’Akatsuki, Kanda connaissait cette organisation, son père, quelques années de cela, lui en parla, tels une organisation malefique cherchant la mort et la destruction, était-ce la vrai histoire ? Rencontrer le chemin d’un membre de l’Akatsuki sans mourir était exceptionnelle, mais Kanda ne comptait pas mourir, surement pas maintenant. Il regarda alors une dernière fois ses adversaires et mit sa main sur son katana, le retirant de son manche petit à petit, il fit un petit.
    Soudainement il fit un énorme bond, et fit plusieurs signes de ses mains.


    Suiton Daibakufu !

    Cria t-il avant qu’un énorme raz de marée partit en direction des autres, ce dernier était très puissant, faisant voler tout les debris et detruire les derniers morceaux debout.
    Kanda sortit alors son katana, mis deux doigts de son gantelets dessus avant que la lâme devint bleue, il redescendit alors fortement, le katana la première, poussant un énorme crit, il s’ecrasa son arme la première, ce fut une énorme explosion faisant voler encore les debris, Kanda se releva et mit son katana devant lui, se protegeant, le combat aller commencer maintenant.

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    MessageSujet: Re: Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ]   Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ] I_icon_minitimeJeu 20 Aoû - 20:11

    La rumeur qui l’avait conduite jusqu’au pays de la Mort spécifiait que le massacre avait été perpétué par le Gobi, ceux qui lui avaient rapporté les fait se montrant intraitable sur le sujet. Un chien géant à cinq queues : tel était décrit le tortionnaire. Pourtant, alors qu’elle progressait au travers des ruines du village en observant le sinistre paysage, elle doutait de plus en plus de la véridicité de ces commérages. Le village qui avait été détruit était un petit village tout à fait banal, semblable à tous ceux présents dans les pays environnants, les villages ninja exceptés, à cela près qu’il s’agissait, dans ce cas-ci, d’un point considérable de ravitaillement. La perte du village serait un coup dur pour le transport des marchandises et pour l’économie générale des pays reliés, et c’est pour cela que Zuko croyait davantage à un attenta terroriste qu’à une attaque du Gobi. À ce premier argument, venait s’ajouter le fait qu’il était tout à fait invraisemblable que le chien a cinq queues se soit attaqué sans raisons apparentes à un village marchand qui n’avait, très certainement, rien réclamé, alors qu’il ne s’était pas montré au monde depuis des décénies.

    ( C’est une couverture. Quelqu’un – le vrai responsable – s’amuse à faire passer ce massacre sur le dos du Gobi pour une raison quelconque. Peut-être, simplement, pour éviter qu’il y ait enquête, ou alors … Puis, il a peut-être utilisé une technique d’illusion durant l’attaque, afin que les survivants eux-mêmes prétendent avoir été attaqués par un chien démoniaque. )

    Il ne s’agissait là que de fabulations, mais Zuko préférait croire à ses propres hypothèses plutôt qu’à la culpabilité de Gobi, à laquelle elle ne pouvait tout simplement trouver aucune explication logique et crédible. Suffisait de réfléchir un peu pour comprendre que quelque chose n’était pas net dans cette histoire. D’un peu d’originalité pour esquisser une possible explication tout à fait différente de celle qui avait été présentée à la base.

    ( Et, si au final il s’trouve que Gobi est vraiment le responsable de cette désolation, alors c’est qu’il y a eu quelqu’un ou quelque chose pour le pousser à agir de la sorte…) Elle parcourut le petit rassemblement d’un rapide coup d’œil, et sa bouche se tordit en une moue subtile. ( Reste à savoir si certains d’entre eux sont impliqués dans cette affaire. Dans un tel cas, séparer le bon grain du mauvais. Dans l’autre, chercher ailleurs…) Brusquement, elle stoppa sa marche, redressa légèrement le dos et repensa aux paroles qui venaient de résonner dans son esprit. Chercher ailleurs… Pour quoi faire? En quoi cette histoire la concernait-elle? Pourquoi aurait-elle du perdre son temps à éclaircir cette affaire, alors qu’elle avait déjà une mission sous le bras? Après tout, ses petits pilleurs déguisés n’attendraient pas après elle. Si elle prenait le temps de s’intéresser au cas du village détruit, ils lui échapperaient probablement. ( Après tout, on ne m’a rien demandé. Je vois pas pourquoi je devrais perdre mon temps ici, alors que le mal est déjà fait, à risquer ma vie en m’approchant de trop près de ceux d’Iwa et de Kiri, qui risquent de me reconnaître … Ils sont tous morts, après tout, et je ne leur dois rien … )
    Mais, peine perdue. La vision de la jeune mère mourante, le souvenir de ses appels désespérés, formaient une ronde inébranlable dans son esprit, et malgré le fait qu’elle ne les connaissait même pas, elle ne pouvait s’empêcher d’éprouver pour ces défunts une affection à laquelle elle ne pouvait donner d’autre origine que la mort. Ces gens étaient morts en innocents, sans même avoir eu la chance de se défendre, car la puissance qui s’en était prise à eux était, de toute évidence, bien plus imposante que celle de leurs fourches et de leurs torches. Reprise d’assaut par quelques nausées, Zuko tâcha de se changer les idées en examinant plus attentivement les potentiels fautifs, tentant de se faire d’eux une idée plus précise.

    Sadame, d’abord, la laissait perplexe. De lui, elle ne pouvait rien dire, sinon qu’il ne lui inspirait pas confiance. Caché sous sa cape, silencieux ou presque, solitaire … Il avait, à vrai dire, le parfait profil du psychopathe recherché. ( Un ninja seul aurait très bien pu détruire ainsi ce genre de village. Suffirait de savoir s’il est assez puissant pour. Mais … Je doute que tout ça soit arrivé par sa faute.) Elle ne pouvait expliquer pourquoi. Elle doutait, tout simplement. Et Dieu sait que Zuko, dans le genre paranoïaque, était aisément capable d’accuser même le plus infirme des vieillards du plus morbide des crimes, en autant qu’elle s’y mettait. Les raisons qui la poussaient à croire en l’innocence de l’étranger l’effrayaient légèrement, à vrai dire. Et, là aussi, elle n’aurait su dire pourquoi. Agacée par ces pressentiments inexplicables, elle préféra tourner le regard vers le groupe d’Iwa, qui s’était rassemblé peu avant qu’elle se pointe dans le décor.

    Ils étaient six en tout, tous habillés dans le même genre. Majoritairement de blanc vêtus, haut de leurs sandales rehaussées, leurs habits agrémentés de plaques de fer qui ne semblaient servir qu’à embellir l’ensemble, puisqu’ils ne protégeaient pas le corps de façon très stratégique. Le cœur était inaccessible, mais la plupart des ninja les plus dangereux ne le visent jamais, car les chances de le rater sont trop nombreuses, et, dans un tel cas, l’agonie, trop lente. De plus leur tenue était ridiculement moulante … Ajusté dit-on? Le rendu détendit légèrement l’humeur de la jeune femme, qui trouvait cet uniforme tout simplement digne du pire des cirques. Mais, bon, vue le manteau uniforme de la Lune Rouge, elle n’avait point son mot à dire face aux goûts vestimentaires d’Iwa… Même si elle, au moins, avait la décence de garder sa cape brodée de nuages rouges au fond de son sac de voyage et de ne la mettre que lorsque nécessité il y avait.
    De tous, Saika était la seule à laquelle la tenue saillait relativement bien, même si l’ensemble lui paraissait inutilement et exagérément déshabillé. Chacun ses goûts. Zuko en déduisit qu’il s’agissait, à la base, d’une tenue conçue pour les femmes, et retint un ricanement en observant de nouveau les pauvres victimes des tendances vestimentaires de leur chef, et déplora leur mollesse. Elle ne pouvait croire qu’ils appréciaient réellement de porter cette tenue … [… Je tiens à rappeler que l’opinion du personnage lui est réservée, c’n’est donc pas une absolue vérité. Patapper l’auteur x)]

    Ensuite, venais le dernier groupe, mais non le moindre : celui de Kiri. Comme elle s’était rapprochée, elle pouvait à présent déterminer la nature du symbole qui marquait le bandeau des quelques ninjas présents. Ils étaient plus bruyants que les autres, et certains semblaient même très tendus. Intriguée par cette démonstration, elle s’arrêta un instant sur ce détail afin de tenter de comprendre ce qui pouvait bien les exciter ainsi. La possibilité d’être attaqué par celui qui avait causé la destruction du village? La rencontre inattendue avec deux étrangers, en plus du groupe d’Iwa? Ou bien s’agissait-il seulement d’une excitation due à l’inexpérience? Après tout, les membres du groupe – surtout celui de tête – ne semblaient pas familiers avec ce genre de situation.
    Toutefois, même si elle ne leur accordait pas un rang très élevé, elle décida de demeurer méfiante vis-à-vis de ce groupe. L’expérience lui avait appris que les plus fringants sont aussi les plus prompts à attaquer sans raisons.

    Un bruissement à sa droite la fit sursauter, et elle se retourna, à temps pour voir les cinq d’Iwa repartir, laissant leur chef seule ''devant l’ennemi''. La voix de la demoiselle s’éleva presque aussitôt, aussi ne prit-elle pas la peine de s’interroger sur les raisons de cette désertion.

    « -Crois tu vraiment que tu parviendra à sceller un dieu ? Mizukage de pacotille... »

    Ses lèvres se plissèrent en une légère grimace, tandis qu’elle continuait d’approcher le groupe qui venait de diminuer, n’arrivant pas à croire à ce qu’elle venait d’entendre. De un : elle venait d’appeler l’homme qui dirigeait le deuxième groupe ‘’Mizukage’’, ce qui ne faisait aucun sens dans l’esprit de Zuko, qui n’avait pour l’instant que très peu d’estime pour l’inconnu –oh, surprise. De deux : Elle avait utilisé le mot ’’pacotille’’. Chose encore plus illogique à ses yeux. ( Non mais, sérieusement, ce mot s’utilise encore? On en apprend tous les jours… Pacotille … Mais bon, venant de quelqu’un qui a un démon chien pour Dieu, faut pas s’attendre à grand chose, je suppose … ) L’œil étincelant, elle adressa au Tsuchikage un regard empli de pitié – pitié parce qu’à ses yeux elle venait tout simplement de s’humilier publiquement en usant d’un tel vocabulaire – avant de détourner le regard, résistant à l’envie d’éclater de rire. Dire que, pour une fois, quelque chose l’amusait...

    « - Jolie note d'humour... Sincèrement... »

    Comprenant que cette répartie lui était destinée, Zuko tourna la tête vers la Tsuchikage de nouveau et planta son regard droit dans le sien. Pour la première fois depuis son arrivée, son visage se fendit d’un large sourire, sourire empli d’un plaisir presque démentiel. Même ses yeux, sous l’ombre de ses cheveux, étincelaient, l’amusement les ayant ravivés. Un rire sardonique, empli d’un dégoût marqué, lui échappa alors qu’elle contemplait la seconde femme présente sans s’embarrasser. ( Han, c’était sensé m’atteindre, ça? C’est pas la répartie qui étouffe ceux d’Iwa, faut croire! Même Tobi me répond mieux que ça …) En pensant à Tobi, elle se surprit à regretter son absence. Elle était bien tombée : son partenaire était au moins aussi bécasse qu’elle! Si seulement il avait pu être là, cette rencontre aurait vite tourné au ridicule. Mais, au moins, elle se serait amusée.

    « Joli ton costume de chaudasse. Sincèrement. »

    Bah, ouais. Elle l’avait cherché, aussi. L’avait qu’à pas la provoquer avec sa réponse à deux balles. Et, accessoirement, à pas se promener les cuisses à l’air. Ça aussi, ça peut aider … Elle leva la main et fit mine de chasser une mouche invisible d’un rapide mouvement de poignet, signifiant que la réponse précédente de Saïka ne l’avait pas troublée.

    Cet animal dont vous parlez, qui est-ce ? Gobi ? Dites moi ce que vous savez sur lui.

    Sadame avait mit fin à leurs enfantillages – comment les appeler autrement? – en imposant sa question, à laquelle la voix du meneur de la troupe de Kiri avait presque aussitôt fait écho.

    Et bien, on parle bien de Gobi tu as tout compris mon frère…

    Son sourire s’effaça, remplacé par une moue agacée, alors qu’elle adressait à Kanda un regard empli de désapprobation. ( Ce gars peut pas sérieusement être Mizukage! C’est quoi, ce manque de perspicacité? Il y a réfléchi, au moins? ) Les paroles que Saïka avait précédemment prononcées lui revinrent en tête. ''Sceller un Dieu''. Son désir d’emprisonner Gobi en lui était-il si fort qu’il en perdait même le sens de la logique? Décidant de faire front contre Kiri et Sadame, qui semblaient avoir tous deux rejeter d’instinct la faute sur le démon chien à cinq queues sans plus de préliminaires, Zuko fit légèrement grincer ses dents avant d’élever une voix plus forte et plus mature que lorsqu’elle s’était adressée à la Tsuchikage.

    « Vous rejetez la faute sur Gobi trop rapidement à mon goût. Utilisez plutôt votre matière grise, un peu : pourquoi aurait-il détruit ce village, sinon parce qu'on l'y aurait poussé? À supposer qu'il soit vraiment le responsable ... Parce que j'en doute sérieusement. »

    Elle adressa au Mizukage un regard acéré, tout en s’attendant à le voir répondre à cela aussi bêtement que promptement, prenant cette intervention consciencieuse pour une simple provocation. Elle ne s’intéressa pas à Sadame, se doutant que, de toutes manières, elle ne pourrait deviner le cours de ses pensées puisque son visage était caché par l’ombre. De plus, considérant le chef de Kiri comme étant très impulsif, elle préférait le garder à l’œil, et attendre de voir si Saïka prendrait elle aussi position dans la discussion en cours.

    Sage décision, visiblement, puisque, sans plus réfléchir à la situation, et seulement un instant plus tard, Kanda se lança à l’attaque. La Kage de Kiri disparu de sa vue, remplacé par un mur d’eau qui avançait rapidement dans sa direction. Elle ne prit pas le temps de s’inquiéter des autres, les jugeant assez débrouillards pour se sortir de cette situation par eux-mêmes, et entama la formation des symboles nécessaires à l’exécution de sa technique.

    « Fuuton, Fuusoku! »

    L’air se mit à siffler à ses oreilles, mais le bruit fut rapidement enterré par le vacarme que produisait la vague en approchant. Le vent se mit à tournoyer autour d’elle, gagnant en vitesse et en intensité, et se resserrant autour de ses jambes jusqu’à s’être concentré autour de ses mollets. Toutefois, le temps lui manquant, Zuko n’attendit pas que sa technique prenne plus de forces et, voyant le raz de marée sorti de nulle part dangereusement près. Elle sauta, et l’air jusque là maintenu sous ses pieds fut brutalement libéré. Le vent déclenché par cette libération, qui s’était accompagné d’un sifflement digne des tempêtes les plus violentes, la projeta vers le ciel, élevant son corps jusqu’au-dessus de la vague envoyée par le Mizukage. Elle commença à retomber alors que cette dernière passait son chemin, et parvint à se réceptionner avec peine sur un muret qui était arrivé à tenir debout malgré la violence de l’attaque lancée par Kanda. La pierre rendue glissante par l’humidité, la jeune femme rata quelque peu son atterrissage : son pied droit dérapa, et elle du se réceptionner durement sur un genoux pour éviter de piquer du nez. La douleur fut extrêmement vive, et dura quelques longues secondes, indiquant qu’un nerf avait été violemment dérangé. De plus, comme son pied gauche avait été le premier à toucher le sol, elle sentait sa cheville endolorie, ses os probablement éprouvés par une telle violence. Il en était de même à chaque fois qu’elle utilisait cette technique, mais cette dernière s’avérait trop utile pour que Zuko songe à cesser de l’utiliser. Il lui faudrait toutefois, bientôt, penser à une manière d’adoucir l’atterrissage. À ce rythme, elle risquait de se briser les deux chevilles avant longtemps…
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    MessageSujet: Re: Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ]   Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ] I_icon_minitimeJeu 20 Aoû - 20:12

    Non sans une grimace de douleur, Zuko se releva et descendit prudemment du muret. Elle fit jouer lentement ses jambes, afin d’en faire partir la sensibilité, en tentant d’ignorer l’élancement de sa cheville affaiblie, consciente que le combat ne s’arrêterait pas là. Même si, pour l’instant, elle ne songeait pas à participer aux affrontements. Bien a à eux s’ils trouvaient amusent de se taper dessus …

    La vague ayant à présent disparu, la jeune femme cherche Kanda du regard, et le trouva à l’endroit même où il se tenait avant l’attaque qu’il avait lancé. Elle fronça les sourcils en apercevant le katana qu’il tenait en main, et leva une main sur le manche de son fleuret, arme qui lui servait plus à explorer de nouvelles techniques qu’à se battre, puisque sa lame ne tranchait pas, et dont seule l’extrémité était acérée.

    « Monsieur est pressé, on dirait … »

    Elle le toisa avec mépris, dégoûtée par cette attaque barbare et injustifiée. (… Certainement pas ce que je m’attendais du Mizukage en personne. Il se comporte comme un gamin, et il réfléchit encore moins.) Elle sourit de nouveau, et lança un regard vers l’arrière, afin de voir si les deux autres s’en étaient tirés. Si tel étais le cas, alors l’acte de Kanda serait peut-être à la base d’un conflit entre Iwa et Kiri. Conflit qu’il méritait bien. Ça lui remettrait certainement les idées en place.

    En attendant de voir quelle serait la suite, Zuko entreprit de s’éloigner légèrement de l’agresseur, ainsi que de deux possibles combattants, l’envie n’étant pas à se mêler au conflit. Si combat il devait y avoir, elle préférait plutôt se régaler du spectacle en espérant que ''chaudasse'' et ''cagoule'' – en attendant de trouver un surnom plus convenable à leur accorder – parviendraient à administrer la fessée de sa vie au Mizukage puéril et irréfléchi.
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    MessageSujet: Re: Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ]   Sur les traces d'un démon, les rencontres fleurissent [ Saika, Zuko, Kanda ] I_icon_minitimeVen 21 Aoû - 19:12

    L'Homme était donc si stupide ? Alors qu'Eiyo avait demander le plus d'information sur Gobi, la seule réponse qu'il avait obtenu était des gamineries, des enfantillages dignes des plus grands bac à sable. Sa réponse était des plus irrespectueuses et des plus puériles. Son manque de respect montrait en lui une certaine confiance fragile, il voulait se sentir sur de lui, mais il était loin de l'être. Fumer permettait de moins stresser, d'être angoisser par un quelconque moment ou bien de se donner un style, plus ou moins médiocre. Mais dans les deux cas cela relevait du pathétique et de la désolation. Fumer pour ne pas s'angoisser révélait du total manque de confiance en soi, angoisser à l'idée de se confronter à autrui et à perdre toute chose y compris sa fierté. Fumer pour se donner un style n'était rien d'autre qu'un moyen d'avoir un petit bonus pour ne pas paraitre commun et ne pas jouer sur le même pied d'égalité, cette théorie ou cette interprétation était d'Eiyo, mais nul doute qu'il avait raison. Ce prétendu Mizukage n'était rien d'autre qu'un enfant pouvoir jouer dans la cours des grands. C'était tellement stupide et insignifiant.

    Ce fut face à cette réponse que les autres intervenants de cette rencontre intervinrent, la première, semblant venir d'Iwa et n'être rien d'autre que ce prétendu Kage incapable de prendre ses décisions par lui-même. Son dieu, semblant être Gobi, était pour elle et son peuple une croyance unique en laquelle personne ne pouvait se détourner ou blasphémer. C'était une sorte de refuge pour leur peine, peur et douleur, leur croyance envers un dieu n'était rien d'autre qu'un refuge contre l'inexplicable et l'indémontrable. Une chose échappant à leur esprit n'était rien d'autre que l'œuvre de ce Gobi. Une religion qu'Eiyo répugnait en silence, même si pour lui cela était puéril et stupide, il respectait ceci et n'était pas le premier à le dénigrer. Bien qu'il ne perdait aucune occasion pour démontrer toute la stupidité de la chose. Mais ce n'était pas lu plus important pour le moment, restait cette dernière personne présente ...

    Une jeune kunoichi ayant peut-être la vingtaine, un peu plus ou un peu moins cela importait peu. Membre de l'Akatsuki, elle semblait arboré cette cape noire parcheminée de nuage rouge au contour blanc. L'organisation de la Lune rouge semblait prendre n'importe qui à présent. Une organisation de criminelle qui n'avait qu'un seul but, celui de capturer tout les bijuus mais qui n'avait aucune raison d'exister, leur but était stupide et leur raison n'était pas valable. Des ninjas pourchassés depuis des temps immémoriaux pour une envie personnelle d'une unique personne. Chacun avait ses raisons d'y rentrer ou non, mais cela n'était qu'une excuse de plus pour justifier un choix injustifiable. Bien qu'elle semblait plus mature que le reste des personnes présentes, il n'en restait pas moins que ses interventions étaient inutiles et tout aussi inutile que les commentaires qu'elle dénigrait.

    Finalement ces trois interventions qui se prétendaient toujours plus intelligentes les unes que les autres étaient au même degré d'intelligence et de confiance en soi. Arrogant et stupide, voila deux mots décrivant bien ces personnes présentes. Tous se sentaient supérieur à son voisin qu'ils dénigraient sans relâche. Peut-être en était-il de même pour Eiyo qui les jugeait comme pathétique et stupide, la seule différence était qu'il ne partageait pas ses pensées. Mais tout cela qu'importait, même si l'invocateur était au même niveau que ces stupides humains, cela ne prouverait qu'une chose : qu'il n'était pas si différent et que personne ne pouvait lui reprocher d'être inhumain. Une nouvelle justification qui ne servait absolument à rien.

    Qu'allait-il se passer à présent ? Allaient-ils se regarder dans le blanc des yeux et se balancer quelques piques pour passer le temps ? Eiyo n'en avait pas l'intention, il n'avait pas le temps de regarder quelques ninjas immatures incapables de différencier le nécessaire de l'amusement. L'invocateur par excellence n'avait pas de temps à perdre avec de tel ninja incapable d'apporter des réponses ou même de retenir leur besoin de montrer les quelques fiertés qui faisaient d'eux des ninjas. Alors même qu'il allait partir les laissant entre eux, Eiyo sentit un mouvement brusque qui signifierait la sortie de l'impasse et de la lenteur de cette rencontre inutile et sans intérêt. Se retournant alors, le nuke-nin pu voir le Mizukage entamer l'attaque. Attaquant alors à l'aide d'une petite vague sans grande puissance apparente, il espérait probablement créé un raz-de marée important tout avec lui. Manque de chance ou juste de capacité, cela n'était pas le cas.

    Regardant alors ce flux d'eau se diriger vers lui, Eiyo soupira, s'adressant à sa tortue présente, il se plaça derrière elle et la laissa faire. Cette dernière approuva rapidement et malaxa du chakra avant de se préparer et à augmenter sa taille et sa résistance. Se plaçant entre ce courant d'eau et le corps de son invocateur, l'animale ne broncha pas et créa une protection évitant ainsi à Eiyo d''être toucher par la moindre goutte d'eau. La carapace de la tortue, solide, large et arrondie créait une sorte de bouclier divisant l'eau en deux avant de les laisser s'écouler tranquillement plus loin. Une simple technique et présence animale qui avait montré la puissance de ses invocations et surtout de la défense efficace de cet animale mais aussi la capacité d'Eiyo a resté calme et ne pas agir comme un enfant incapable de rester tranquille.

    Attendant patiemment la fin de cette attaque n'ayant qu'une utilisation : tenter de surprendre les ninjas présents et de montrer une technique de suiton, Eiyo ne bougea pas, laissant la tortue apprécié ses quelques courant d'eau lui rafraichissant la carapace, il laissa un soupir traversé ses lèvres. Soupir que personne ne pu entendre au travers de tout ce flot d'eau et de ce bruit inutile. Ce fut finalement quand l'attaque se stoppa que l'animal reprit sa taille normale et resta devant son invocateur, prêt à agir de nouveau pour le défendre. Ce dernier, regardant alors comment s'en était sortit les autres personnes présentes, finit par regarder le Mizukage qui avait dégainé son arme dans le but de poursuivre cette attaque. Pour quelles raisons faisait-il cela ? Avait-il perdu le contrôle ou avait-il un tord à se reprocher ? Ses raisons ne suffiraient pas à expliquer une telle manière d'agir. Aurait-il vraiment cru qu'un peu d'eau suffirait face à de tels ninjas ? Manquait-il à ce point d'expérience ? Soupirant alors, Eiyo ne se retint pas de lui faire remarquer son incompétence :


    Pathétique.

    Non bavard, cela suffirait à faire comprendre à ce ninja qu'il ne viendrait pas à bout de ses adversaires à l'aide de simple vague d'eau. Il devait maintenant comprendre la puissance et l'expérience que possédait ses adversaires qui n'étaient pas aussi amateur que ceux qui lui servait de garde du corps. Peut-être était-il temps de lui donner une leçon. Eiyo y avait penser un moment, engager le combat et en finir rapidement. Il s'y refusa rapidement voyant la présence de ces deux autres kunoichis et de l'absence d'intérêt de faire une telle chose. Regardant le résultat de cette attaque stupide, Eiyo put remarquer le résultat de cette stupidité. Les quelques traces du passage de l'auteur de l'état du village avaient à présent disparus, les corps des cadavres en décomposition pouvant indiquer le temps écoulé depuis l'attaque étaient à présent regroupés un peu plus loin, laissant plus aucune possibilité d'interprétation et d'exploitation. L'Homme ne réfléchissait donc plus ? La réponse semblait évidemment être non. Soupirant alors il se retourna et commença à partir avant de dire à haute voix à l'intention du Mizukage mais aussi des deux autres kunoichis :

    Je n'ai pas le temps de participer à ce genre de gaminerie.

    Peut-être les méprisait-il, peut-être les prenait-il en pitié. Les possibilités étaient nombreuses, mais cela n'était plus un réel problème pour lui. S'éloignant de ce qui serait probablement une zone de combat, il marchait d'un pas lent rapidement suivit de son invocation qui le suivait en laissant un mètre uu deux surveillant ses arrières et se tenant prêt à le défendre de la meilleure façon qu'il soit.
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